Vie des royalistes

Entretien avec la duchesse d’Anjou, Marie-Marguerite de Bourbon.

Comme chaque année, la duchesse d’Anjou a honoré de sa présence le Rastrillo Nuevo Futuro, organisé par la Fondation Querer au profit des enfants pauvres. Quelques jours avant l’évènement, la reine de jure avait accompagné sa tante, la princesse María del Pilar, à la conférence de presse consacrée à la présentation du projet. Elle avait alors accepté de répondre aux questions de Paloma Barrentos, directrice du magazine espagnol Vanitatis[1].

Vous venez de célébrer votre treizième anniversaire de mariage. Quel bilan faites-vous de ces années ?

Je peux seulement dire : le meilleur ! J’ai des enfants en bonne santé et une famille unie et heureuse.

Que vous rappelle cette journée ?

J’ai l’impression que c’était hier  Tout fut magnifique, très intense et inoubliable. J’ai conservé ma robe de mariée. Parfois ma fille, Eugénie, demande à la voir. J’aimerais qu’elle se marie avec. Ses dentelles sont magnifiques.

Vous avez étudié le Droit. Vous plairait-il de travailler dans ce secteur ?

Il faudrait que je me spécialise, mais je ne l’écarte pas. Mon rêve serait de devenir éducateur.

Vous n’avez pas une image mondaine, contrairement à beaucoup de femmes célèbres, qui aiment aller de fêtes en fêtes. Pourquoi n’appartenez-vous pas à ce groupe social ?

Il n’y a aucune raison. Je suis simple et ma vie est tout à fait normale. J’aime être en famille, entre amis, à la campagne… Je soutiens l’association scolaire de mes enfants et je consacre du temps à l’entraînement pour mes compétitions hippiques.

Que pensez-vous de votre belle-mère, Carmen ? […]

J’aime beaucoup Carmen. Je la trouve dynamique, très belle et très épanouie. Ma fille est très proche de Carmen. Elle l’appelle au téléphone et quand je lui demande ce qu’elle raconte, elle me dit : « Maman, nous parlons de nos affaires ». Elle lui ressemble beaucoup.

Depuis plusieurs années, vous êtes de plus en plus présente aux œuvres de charité. Vous avez soutenu les projets de la Fondation Aimer et accompagnez  l’Infante Pilar, tante de votre époux, à la conférence de presse du Rastrillo Nuevo Futuro.

Comme la plupart des gens, j’aime aider, apporter ce que je peux, et c’est ce que je fais. Et si ma présence peut donner davantage de répercussion à ces œuvres, tant mieux !

Vous êtes très investie dans la Fondation Aimer, fondée par la journaliste Pilar Garcia de La Granja.

Quand elle m’a exposé le projet d’ériger une école pour les enfants souffrant de problèmes neurologiques, je lui ai répondu que je lui apporterais mon aide bien volontiers. J’adore les enfants !

Au Rastrillo Nuevo Futuro, collabore depuis le début la duchesse de Franco, arrière-grand-mère de vos enfants. Selon sa fille, Carmen, sa santé n’est plus celle d’autrefois. Savez-vous si elle viendra cette année ?

Il est certain qu’elle nous manquera un jour ou l’autre. Nous étions la semaine passée à table avec elle et elle se portait bien. Elle est merveilleuse ! Mais rester là toute la journée la fatigue. Moi, je vais y être et mes enfants aussi. Ils s’impliquent beaucoup ! Ils vendent des madeleines que nous avons faites à la maison. Elles sont délicieuses. Ils les font eux-mêmes, puis les emballent (ndlr : une dizaine de jours après cet entretien, la princesse Marie-Marguerite a annoncé au magazine Hola! que la duchesse de Franco (91 ans), grand-mère maternelle du Prince, est atteinte d’un cancer en phase terminale[2]).

Paloma Barrientos


[1] Paloma Barrientos, « Margarita Vargas: “Veo a mi suegra estupenda, guapísima y súper divertida” », Vanitatis, 18 novembre 2017, url : https://www.vanitatis.elconfidencial.com/noticias/2017-11-18/margarita-vargas-carmen-martinez-bordiu-carmen-franco-entrevista_1479704/.

[2] « Margarita Vargas se derrumba al hablar sobre la enfermedad de la abuela de su marido, Luis Alfonso de Borbón », Hola!, 29 novembre 2017, url : https://www.hola.com/actualidad/20171129102711/margarita-vargas-habla-enfermedad-carmen-franco/.

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.