Le confinement détruit la société : continuez vos sociabilités diverses envers et contre tout !
La situation mondiale est à la fois préoccupante et ridicule. La religion de l’homme est en échec complet.
La peur paralyse les « individus » de la société atomisée. Le démocratisme paralyse toute décision souveraine et censée. La fin de la religion comme fondement social paralyse toute réaction spirituelle, pourtant nécessaire.
Une maladie ne sera jamais contrôlée par les hommes. Croire le contraire est une erreur, et cette erreur conduit à la situation mondiale actuelle.
Première vérité : nous mourrons tous un jour. Deuxième vérité : le virus tuera qui il devra tuer. Troisième vérité : les réactions stupides de la société mondiale libérale, démocratique et individualiste conduisent à la destruction de la société.
Les conséquences seront terribles pour les réalités matérielles. La Providence fait bien les choses : mettre à plat le monde moderniste par un organisme microscopique assez virulent, mais qui ne tue pas tant que ça (je ne connais personnellement encore personne mort à cause du virus, malgré trois mois de « pandémie » ; morbidité ridiculement basse comparée aux grandes pestes passées ; regardez les assassinés par avortement par an… on fait tout un plat de quelques milliers de morts de cause naturelle alors qu’on trouve normal des centaines de milliers de morts par assassinat, allez savoir la logique – mais au fond c’est logique, la religion de l’homme ne supporte pas les décrets de la nature, qui sont ceux de Dieu).
Le confinement, qui néanmoins aura pour la restauration de la foi et de la politique traditionnelle de très bons effets (retour du principe de réalité, coup fatal à l’individualisme et au libéralisme sans limites et sans frontières, retour des familles au foyer, des localités, de l’importance des sacrements, de l’importance des vrais métiers à commencer par la vocation sacerdotale, etc), est d’une bêtise noire et contre-nature. L’homme est un animal social. Vérité universelle et indéniable. Le confinement est par définition asocial et détruit donc la société en profondeur : plus il durera plus les effets seront dévastateurs. Profitons-en pour recréer nos sociabilités véritables sans se soucier de la loi : si tant est que la société mondiale (qui est un mythe) et républicaine (un autre mythe) s’auto-détruit, soyons gré au Ciel, mais efforçons-nous en revanche de refonder nos sociétés locales, à commencer par familial, paroissial et de voisinage.
Au fond, cette crise providentielle met le doigt sur l’erreur politique majeure de la modernité : croire que l’homme est asocial par nature, et croire qu’il n’est pas ordonné à Dieu. Les conséquences entraînent la situation présente : la Providence fait si peu pour nous punir, elle nous appelle à la conversion. C’est nous qui nous nous auto-détruisons en s’obstinant dans les faux principes.
La théorie du gender est fausse et contre-nature : un homme est un homme, une femme est une femme, avec leurs rôles respectifs et complémentaires. En politique aussi, il y a des vérités naturelles : l’homme est un animal social, docile et obéissant, il est ordonné au bien commun dans la société et soumis de facto à l’autorité, qu’il demande toujours même à son corps défendant, et il est ordonné à Dieu et au ciel.
Toute la crise actuelle révèle de nombreux faux principes révolutionnaires qui arrivent à leur développement ultime, et donc s’auto-détruisent sous nos yeux.
Saurons-nous de notre côté construire et restaurer ?
Hauts les cœurs, profitons-en pour restaurer à tour de bras, et nous convertir !
Antoine Michel
Pour Dieu, pour le Roi, pour la France