Charles-Emmanuel de Bourbon-Parme : « J’INCRIMINE ! »
J’incrimine ! Gouvernants, médias, politiques, entrepreneurs « conformes » et sectaires, intellectuels et tenants de la pensée « officielle ». Ils nous soumettent à l’esclavage, suppriment nos libertés et nous appauvrissent sciemment. Ces malfaisants sont responsables de nous réduire en ne nous disant pas la vérité afin de prendre à notre encontre des mesures dictatoriales coercitives. Ils nous imposent de vivre comme des reclus emprisonnés physiquement et intellectuellement. Nous sommes à leur merci, corps et âme ! C’est intolérable et indigne !
Les chiffres du covid parlent d’eux-mêmes : en France, nous dénombrons une mortalité de 48 518 morts le 21 novembre 2020 (officiel) avec 67 millions d’habitants, soit une mortalité de 0,072 %. Les États-Unis d’Amérique, dénombrent 250 000 morts le 19 novembre 2020 (LCI — comptage référence Université Johns-Hopkins) avec 331 millions d’habitants, soit une mortalité de 0,075%. La plupart des États outre-atlantique, sans priver de liberté la population, sans bloquer l’économie, sans angoisser leurs concitoyens, ont une mortalité proportionnellement équivalente à celle de la France. J’incrimine les politiciens et les scientifiques de justifier à mauvais escient les mesures injustes prises en France et d’en rajouter verbalement inconsidérément. La dénonciation comme irresponsables de nos alliés américains est ridicule et sans fondement. Eux, ils sauvent leur économie et limitent la progression du chômage.
Par ailleurs, nous n’avons aucun chiffre sur ce qui se passe par exemple en Inde ou en Afrique centrale !
Nos dirigeants servent des intérêts qui ne sont pas ceux de notre pays ! Pour pallier leur incompétence et leur manque d’anticipation, ils écoutent tout et n’importe quoi avant de prendre des décisions doctrinaires irréfléchies. Le confinement empêche toute contestation, nous infantilise, et permet de mettre en place, pour la pandémie, une loi dictatoriale sécuritaire. La représentation nationale n’a plus, dans ce cadre, le contrôle de l’action publique. C’est très grave !
Depuis le confinement, l’avortement peut se pratiquer jusqu’à la veille de la naissance en cas de détresse psychosociale. (10 millions de Français vivent sous le seuil de pauvreté grâce à nos gouvernements successifs. La pandémie accélère la misère. La santé mentale dégradée de nos compatriotes angoissés et dans l’incertitude depuis les confinements s’ajoute au désespoir ambiant). La clause de liberté de conscience a été enlevée aux médecins. L’intérêt économique de quelques multinationales passe avant nos familles, nos artisans, nos commerçants, les professions libérales, nos retraités, nos employés et nos ouvriers. La liste est longue des lois décidées pendant l’enfermement collectif et votées sournoisement et à la dérobée, souvent la nuit et avec le minimum de présence de nos représentants !!! L’argent est distribué sans retenue et sans tenir compte que les emprunts d’aujourd’hui sont les impôts de demain. J’incrimine les dirigeants de refuser le bon sens, de détruire le bien commun, de mépriser la dignité humaine, d’hypothéquer durablement l’avenir, de porter atteinte à la vie…
L’État doit être au service des Français. Aujourd’hui les Français sont à la botte d’une élite oligarchique aux commandes de la France.
Tous les décès à venir consécutifs à l’assignation à domicile de nos concitoyens, à la crise économique due aux futures faillites des commerces, industries et magasins, les conséquences de la détérioration de la santé de nos compatriotes, il faudra en répondre ! Les suicides dus à la misère et la peur du lendemain sont de la responsabilité directe de ces directives inconsidérées et des politiques de tous bords qui n’ont cessé de surenchérir dans un sens ou dans l’autre en suscitant une incertitude et une angoisse. Le catastrophisme en boucle des médias, la surenchère et les actes de terrorisme ont ajouté au marasme ambiant, un climat de profond désarroi.
Mettons fin à cela ! Par la subsidiarité, réinventons la France, celle qui nous manque à tous. Rétablissons les libertés publiques. Fortifions notre pays en défendant ses intérêts et ceux des Français. Réhabilitons la dignité du genre humain et le bien commun.
Charles-Emmanuel de Bourbon-Parme
Prince de Parme