Après l’attentat de Nice, Louis XX demande aux autorités de respecter la liberté de l’Église
Un nouvel attentat terroriste vient de se dérouler ce matin dans la cathédrale de Nice, faisant trois victimes supplémentaires, qui viennent s’ajouter à une liste déjà longue. Trois martyrs, dois-je plutôt dire, car assassinés lâchement, de manière barbare, parce que français et catholiques.
Mes pensées, ma compassion et ma prière sont d’abord pour eux, pour leurs familles et leurs proches, mais aussi pour le clergé, celui de la cathédrale et celui de toute la France, ainsi que pour tous les Français catholiques ainsi menacés.
Au moment où la messe dominicale s’avère plus que jamais indispensable au soutien de leur Foi et de leur moral, et malgré le durcissement des mesures sanitaires, je demande avec force aux autorités responsables de leur garantir la liberté de culte chaque dimanche dans des conditions de sécurité renforcée.
Plus que jamais, la France a besoin de retrouver le fil et la fierté de son identité chrétienne. C’est le seul barrage efficace contre l’islamisation de notre société, insidieuse ou violente, mais dans tous les cas contraire à notre Histoire, notre héritage et à nos valeurs profondes.
Continuons à prier et implorer inlassablement Marie Reine de France, Saint Michel Archange et tous les Saints et Saintes de France de protéger notre pays et de nous donner toujours plus de courage, de Force et de Foi, dans l’Espérance, face aux épreuves qui viennent.
Louis, duc d’Anjou
De jure, Louis XX
Chef de la Maison de France