Il faut créer un effet de choc en commettant l’irréparable…
Comme frappés de stupeur, des centaines de badauds se portent aux endroits où l’on tue. Les organisateurs du massacre n’en demandent pas plus : il faut créer un effet de choc en commettant l’irréparable ; aller le plus loin possible dans l’horreur.
Alain Sanders, Petite chronique de la Grande Terreur, 1989