Voyager avec Jean de La Fontaine à travers la France de l’« avènement » (3)
Par Laurent Chéron Agrégé d’histoire
Les actes des communications des sessions du centre d’études historiques paraissent une fois par semaine, chaque samedi. Les liens des communications en bas de page.
Centre d’Etudes Historiques
1661, la prise de pouvoir par Louis XIV.
Actes de la XVIIIe session du Centre d’Études Historiques (7 au 10 juillet 2011)
Collectif, Actes dela XVIIIe session du Centre d’Études Historiques, 1661, la prise de pouvoir par Louis XIV, CEH, Neuves-Maisons, 2012, p.163-187.
Choses vues : curiosités et paysages au XVIIe siècle
« En vérité, c’est un plaisir de voyager ; on rencontre toujours quelque chose de remarquable. »
Dès la première étape, le voyageur débutant s’égaye au franchissement pourtant laborieux des vallées d’Île-de-France, se rassasiant des paysages changeant au rythme des montées et des descentes. Il remarque d’abord « force châteaux » occupant les éminences. « Je n’en dirai mot, ce serait une œuvre infinie », s’étonne La Fontaine, au témoignage encore visible de nos jours du vigoureux encellulement seigneurial survenu en ces terres, aux temps dits féodaux. Du reste, par mépris du « gothique », il ne s’attarde guère à ces constructions. Le lendemain, ce même préjugé esthétique lui fera aussi mépriser le monument de la Pucelle d’Orléans, ensemble sculptural pourtant longtemps vanté par les visiteurs mais qui, pour un auteur tout dévoué au culte des Anciens, « se sent de la pauvreté de son siècle »[1]. Avant d’avoir atteint Étampes, La Fontaine croit pouvoir dater nombre des forteresses médiévales du temps où les Anglais « étaient maîtres de la France », et leur attribue même le fameux donjon de Montlhéry. Des « peintures anglaises » – qu’on ne prendra pas le temps d’aller contempler, mais que l’oncle érudit mentionne- attesteraient « l’antiquité » du monument, curieuse appréciation chronologique. La recension des châteaux jalonnant les itinéraires a été l’un des premiers lieux communs du voyage français, dès les temps médiévaux[2], et le souvenir de « nos guerres contre les Anglais hante maints paysages dans les guides, journaux et relations depuis la Renaissance. Mais ces divers « ouvrages de Mars, méchant maçon s’il n’en fut jamais », ne plaisent guère à un rêveur au tempérament pacifique. C’est que le dégât de la guerre est encore, si l’on peut dire, tout frais dans ces contrées, et les abords d’Étampes sont l’occasion de s’affliger aux souvenirs encore visibles des troubles de la Fronde. « Imaginez-vous une suite de maisons sans toits, sans fenêtres, percées de tous côtés. » Le poète prend la relève pour moraliser :
« Beaucoup de sang français fut alors répandu : On perd de tous côté dans la guerre civile ; […] »
Les grandes étapes urbaines qui suivent, surtout au long de la Loire, relèvent du répertoire alors déjà très convenu d’un voyage français : Orléans, Blois, Amboise, et surtout Richelieu[3]. Depuis qu’en 1539 Charles Quint a bien voulu voir en Orléans la plus belle de France – après Paris, qui serait « plutôt un petit monde » – chacun de s’extasier sur la largeur de la Loire, et son trafic de voiles, que Jean ose comparer à Constantinople, selon un poncif du temps appliqué souvent à Marseille ou Bordeaux. On admire aussi son ample rempart, sa richesse en maisons, son université enfin, qui en ferait une petite Athènes. À Blois, La Fontaine met ses pas dans ceux de maints Italiens ou Allemands, marchands, ambassadeurs ou étudiants, avant d’être suivi par Claude Perrault, pour admirer un château foisonnant de styles, et où – déjà – le concierge impose au visiteur tous les détails sur la mort de M. de Guise. Le poète, on l’a vu, préfère évoquer le souvenir moins dramatique du Prince Gaston. Au château d’Amboise, on est impressionné par la hauteur des murailles, dont les tours suggèrent une réminiscence virgilienne, prémices d’une futur fable célèbre, en évoquant les chênes touchant :
« D’un bout au ciel, d’autre bout en enfer »
Comme tous les visiteurs du temps, le poète signale un étrange bois de cerf suspendu dans la chapelle, et dont il nous mentionne la taille extraordinaire, sans trancher de son authenticité. Au passage, remarquons qu’en chacun des châteaux ou monuments, un (ou une) « concierge » semble déjà investi du rôle banal de guide, ouvrant les pièces, signalant les curiosités, précisant les auteurs des peintures. À Richelieu, un « vieux domestique » confesse même être « tous les jours attrapé par des Allemands […] qui se détournent bien pour cela de plusieurs journées », sans doute de ces étudiants déjà sur leur « grand tour », ou de ces érudits d’outre-Rhin, nombreux à sillonner le royaume depuis le XVIe siècle. Ainsi déjà, des étapes obligées s’imposent sur les itinéraires. On l’a vu, La Fontaine ne voulait pas « manquer » cet « admirable » Richelieu méritant un détour, auquel le complaisant Châteauneuf s’est bien volontiers prêté. Notons enfin un regard touristique par les conventions de ses intérêts, qu’on retrouve dans bien d’autres relations. Le décor urbain que remarque le visiteur du XVIIe siècle, ce sont d’abord des ponts, quand ils sont en pierre, des murailles, dont l’ampleur signe l’importance, la richesse et le rang d’une cité, des rues qu’on admire quand elles sont larges et droites, l’abondance des eaux fluviales, si importantes alors pour le trafic des marchandises, enfin des mails. Ce détail de l’urbanisme s’impose fin XVIIe, et d’autant plus que l’arasement des murailles des villes intérieures les élargira et les multipliera sous Louis XIV. C’est aussi un élément central de la sociabilité du temps, quand une élite urbaine s’élargit, agrégeant au-delà de la noblesse ou du clergé, des ressortissants de l’office, des finances et de la marchandise, ensemble unis par une prétention intellectuelle, celle de « l’honnête homme », voire des « précieux ». Le mail, avec ses allées, son ombre, ses divertissements (jeu de mail, ou de maillet, jeu de paume aussi), devient alors le décor d’un indispensable « paraître » de la ville bourgeoise[4]. La Fontaine, très sensible à cet aménagement, le relève à Clamart, Orléans et Richelieu, s’attardant à évoquer les charmes des « allées profondes couvertes, agréables ».
De toutes ces étapes, la ville et surtout le château de Richelieu sont le morceau de choix, occupant plus du tiers de la relation. Les restes dérisoires qui subsistent aujourd’hui du parc et du palais, la médiocrité d’un chef-lieu de canton reculé d’Indre-et-Loire, font oublier qu’alors, aux confins de la Touraine et du Poitou, s’étala un premier Versailles[5]. En compagnie de Châteauneuf, La Fontaine va parcourir des enfilades de salons et de galeries, enchâssées de cours et de portiques, de jardins et de canaux, en des sentiments ambigus, où l’ironie le dispute à la fascination. Le moraliste juge d’abord l’ambition pharaonique, qui a conduit le cardinal-ministre à vouloir faire surgir de nulle part une ville doublée d’un palais et de son parc, selon un projet qui, finement analysée par notre poète, préfigure bien Versailles : « un château attira la ville, comme le principal fait l’accessoire […] gens de finance et du conseil, secrétaires d’État et autres personnes attachées à ce cardinal [ayant] fait faire la plupart de ces bâtiments, par complaisance et pour lui faire leur cour ». Et si « les beaux esprits n’ont pas suivi leurs exemples », si faute d’anticiper Versailles, Richelieu ne connut même pas l’éphémère gloire de Vaux, c’est sans doute pour avoir été un peu trop loin de Paris, et que ces beaux esprits, pourtant aussi « tous pleins de zèle et d’affection pour ce grand ministre », avaient souvent moins que les financiers les ressources pour bâtir. En 1663, à côté d’un palais déjà déserté, végète une bourgade à qui l’avenir réserve « la gloire d’être le plus beau village de l’univers ». Maintes maisons seraient même inhabitées. Loin des rêveries arcadiennes, La Fontaine nous donne au passage une sévère leçon d’économie politique, à la mode du temps, pour expliquer un échec qui n’aurait rien d’accidentel, mais tint à une mauvaise situation : un terroir infertile, trop à l’écart de toute rivière ou « autre passage », au lieu que les bords de Loire, ou le grand chemin de Bordeaux, eussent bien mieux convenu. Et le poète s’amuse à faire la leçon au ministre, qui ici “a mal pris ses mesures : chose qui ne lui arrivait pas fort souvent”, concède le censeur. La mégalomanie aurait-elle égaré le bâtisseur, pris d’une vanité commune aux « héros », celle dont même un Alexandre n’aurait su éviter le ridicule[6] ? Au cours de la visite, La Fontaine continue d’ironiser sur ce thème, remarquant partout « force bustes et force statues, Mars, Apollon, Hercules, et autres gens de pareille étoffe », tout juste bon à être les « suisses » de Son Éminence. Mais, d’un autre côté, comment ce palais des merveilles, ceint de « fossés larges et d’une eau très pure », ce palais de conte, pourrait ne pas fasciner un La Fontaine ? Deux humbles mortels se glissent, dans « je ne sais combien de chambres riches et magnifiques », décor figé et silencieux, peuplé de dieux et de héros. Dans les allées du parc, on croise Bacchus après Vénus. D’une certaine manière, l’auteur du Songe de Vaux, bientôt celui de Psyché, vit à Richelieu comme le rêve éveillé de ses œuvres d’inspiration mythologique. Le poète, curieusement voué à chanter des décors imaginaires- le Vaux du Songe (1658), et plus encore le Versailles de Psyché (1669) sont encore des ébauches – se retrouve à errer dans un vrai palais de Belle au bois dormant, regermé sur ses rêves. Seul y règne désormais le peuple de l’Olympe, sujet du grand genre dans lequel le futur fabuliste, « ancien » par vocation, « moderne » malgré lui, a longtemps espéré se faire un nom de poète[7].
Rêveur quand il voulait l’être, La Fontaine a été aussi un admirable observateur, et c’est à ce talent que son récit doit sans doute sa part la plus originale. Au long des plus de quatre cents kilomètres, parcourus en douze étapes étalées sur deux semaines, au rythme des visites, à la vitesse du trot, quand ce n’était pas à pied, au côté de l’équipage ralenti par tel accident du trajet, on a eu le temps de regarder[8]. La Fontaine montre certes d’abord un goût de la nature maîtrisée assez typique du temps. La moindre montée – il est vrai difficile pour les attelages – fait voir d’austères « montagnes », ensauvagées de « rochers », même autour d’Arpajon. La plate et désolante nudité de la Beauce, propice au sommeil, n’est ensuite pas plus appréciée, et la petite équipée du carrosse met cette traversée à profit pour lier conversation (trois femmes, un marchand et un notaire ont rejoint nos amis au départ de Bourg-la-Reine). La Sologne, c’est-à-dire, sous la plume du poète, le val de Loire en sa rive Sud, entre Orléans et Blois, offre plus d’agrément parce qu’elle est coupée de haies[9]. Surtout, le voyageur apprécie au long de ce val les « coteaux les plus agréablement vêtus », « tant de diversité », la « Loire domptée », telle un « canal » tracé à travers le « jardin de la France ». Cette dialectique paysagère condamne le sauvage, le mal civilisé, les « montagnes pelées », comme on commence à en affronter à partir de Bellac, pays de mauvais chemins, de rues mal pavées, de « maisons mal accommodées et mal prises », de méchants gîtes, où la sauce est suspecte et le vin bon « à teindre les nappes ». Tout y transpire l’odeur de l’ail, et l’on n’y « parle quasi plus français ». La nature, comme la Loire, se doit d’être « domptée[10] ».
Mais ce qui plaît particulièrement à La Fontaine, ce sont les mises en scènes graduées, où l’œil, sur une vue que rien n’arrête, est attirée par mille dispositions diverses, avec des étendues semées d’objets riants. Il aime à Richelieu les profondeurs organisées du mail, ses « allées profondes, couvertes, agréables, et où je me plairais à avoir une aventure amoureuse ». Autre attrait, ces points de vue élevés d’où le paysage étalé sur des lieues fait un jardin aux yeux de l’observateur, panorama qu’offrent les tours d’Amboise, ou encore ces coteaux où toute une ville s’étage devant le spectateur, comme les « degrés d’un amphithéâtre », site admiré à Blois depuis la rive gauche. Le regard de La Fontaine, au sens propre, est ici novateur. « Ce qu’il y a de plus beau – note-t-il à Amboise- c’est la vue ». Ce terme même de « vue », cette notion de « point de vue », attentive à l’harmonie de tous les éléments d’un ensemble assez vaste contemplé en perspective – et non seulement à tel ou tel détail bien fait, intéressant, ou impressionnant du paysage – est très rare sous la plume des voyageurs du XVIIe siècle[11]. Il n’apparaît vraiment que dans la seconde moitié du XVIIIe , avant de se banaliser au XIXe. La naissance et le développement de ce nouveau regard englobe aussi l’intérêt envers les paysages ruraux encore très délaissés au début des temps modernes (on n’admire guère que les villes), campagne qu’on aime humanisée, avant de rechercher avec Rousseau le charme déjà romantique des espaces restés « sauvages ».
Seule la triste Beauce, comme les rudes abords du pays Limousin, ont donc déçu notre voyageur parti impatient de choses vues. Qu’en a-t-il été d’autres aspects du voyage, que nous dirions pratiques ?
Suite du dossier :
- Voyager avec Jean de La Fontaine à travers la France de l’« avènement » (1)
- Voyager avec Jean de La Fontaine à travers la France de l’« avènement » (2)
- Voyager avec Jean de La Fontaine à travers la France de l’« avènement » (4)
- Voyager avec Jean de La Fontaine à travers la France de l’« avènement » (FIN)
Notes
[1] Élevé vers 1500 sur le pont franchissant la Loire, l’ensemble représentait Charles VII et Jeanne d’Arc en « orants », à genoux de part et d’autre d’une pietà adossée à un calvaire. Déplacé dans la ville quand un nouveau pont fut construit au XVIIIe siècle, le monument fut détruit pendant la Révolution.
[2] Pour Froissart, tel château a été construit par untel, ou bien est à tel ou tel, ou bien encore est remarquable par sa valeur militaire. À partir des temps modernes, comme selon les rubriques d’un Guide Michelin, le voyageur relève les villes « munies » d’un château, ou qui en « possède » un, parfois « beau », et méritant une visite, que nos voyageurs n’ont pas eu le temps de consacrer à Montlhéry. Sur ces remarques comparatives, et d’autres qui suivront, voir J-M. Goulemot, Le voyage en France, Anthologie des voyageurs européens en France, du moyen âge à la fin de l’Empire.
[3] Entre Orléans et Blois, La Fontaine ne fait pas le petit détour par Chambord, malgré l’étape toute proche de Saint-Dyé. Le château de François Ier était pourtant une curiosité aussi fort courue, que Claude Perrault ne manqua pas en 1669.
[4] C’est en particulier celui d’une nouvelle élégance, par l’« exhibition du linge blanc et de ses prolongements démesurés : manchettes et cols de dentelle. Voir la célèbre gravure d’Abraham Bosse, La galerie du Palais, et plus largement G. Vigarello, Histoire de la beauté.
[5] Comme curiosité, Richelieu attira entre 1640 et 1670 des visiteurs tels Léon Godefroy et Claude Perrault, auteurs de journaux de voyage. Le château accueillit aussi des hôtes princiers de passage, Gaston d’Orléans, la Grande Mademoiselle, la cour surtout, en 1660, de retour de Saint-Jean-de-Luz, après le mariage de Louis XIV. Plutôt déserté par la suite, notamment durant le XVIIIe siècle, le château fut définitivement démantelé à la suite de la Révolution. N’en subsistent que l’entrée en demi-lune, deux communs (orangerie et cave) au fond du parc, et un pavillon à dôme, rescapé de l’aile sud du palais.
[6] … lui « qui faisait laisser où il passait des mors et des brides plus grands qu’à l’ordinaire, afin que la postérité crût que lui et ses gens étaient d’autres hommes, puisqu’ils se servaient de si grands chevaux » (anecdote sans doute empruntée à Plutarque, Vie d’Alexandre)
[7] Benjamin Vignier, gouverneur du château, publia en 1676 LE château de Richelieu, ou l’histoire des dieux et des héros de l’antiquité, sorte de guide touristique détaillant en vers les trésors du lieu, et notamment la statuaire exposée.
[8] IL ne faut pas s’illusionner sur le loisir de contempler le paysage qu’avait alors le voyageur enfermé dans une voiture peu vitrée. C’est ainsi qu’il faut comprendre le choix du poète de cheminer un moment à pied entre Cléry et Blois, tant le chemin bordé de haies lui paraît agréable (voir infra).
[9] Rappelons que l’authentique Sologne, entre Orléans, Blois et Vierzon n’est pas encore le massif forestier dû au Second Empire, mais une étendue pauvre et marécageuse, semée de Landes et de buissons.
[10] Ces appréciations doivent nous relativiser un La Fontaine au parti pris baroque adversaire du classicisme montant, moquant l’artificielle symétrie de Richelieu, mais vantant la fantaisie composite de Blois, partisan de laisser libre la nature, contre le corsetage louisquartozien, et autres métaphores censément anti-absolutistes, suggérées par un texte qui nous paraît ici très sollicité. Certes, La Fontaine, père tranquille et pacifiste, ne sera jamais très enthousiaste chantre du Louis XIV guerrier ; on a vu du reste les sentiments mélangés que lui inspira Richelieu. Mais, par-dessus tout, notre homme ne faisait pas de politique. La Fontaine n’était pas Fénélon (voir supra, note 13).
[11] Rares exemples : l’Italien Lippomano relève dès 1577 la vue de Blois qu’ « on embrasse d’un seul coup d’œil », le Français Geoffroy est sensible au charme du « jardin perpétuel » que présente la campagne autour de Tarbes (1644-1646), cité par J-M. Goulemot, op. cit. En dehors des villes, on ne remarque guère que les curiosités naturelles d’exception (la mer encore jamais vue, la large Gironde et son mascaret, la Fontaine de Vaucluse – au vrai aussi prétexte de réminiscence littéraire – tel col vertigineux…), et l’originalité bioclimatique du midi méditerranéen, qui en général évoque douceur de vivre et abondance… et sert d’écrin aux antiquités. La peinture d’un Bruegel, ou d’un Vinci fut, d’une certaine façon, en avance sur le public.
Communications précédentes :
Avant-Propos : http://vexilla-galliae.fr/civilisation/histoire/2654-ceh-xviiie-session-avant-propos
La rupture de 1661 (1/3): http://vexilla-galliae.fr/civilisation/histoire/2663-la-rupture-de-1661-2-3
La rupture de 1661 (2/3): http://vexilla-galliae.fr/civilisation/histoire/2664-la-rupture-de-1661-2-3
La rupture de 1661 (3/3): http://vexilla-galliae.fr/civilisation/histoire/2684-ceh-la-rupture-de-1661-3-4
De Colbert au patriotisme économique (1/3)
De Colbert au patriotisme économique (2/3)
De Colbert au patriotisme économique (3/3): http://vexilla-galliae.fr/civilisation/histoire/2693-ceh-de-colbert-au-patriotisme-economique-3-3
1661 : transfert de la Cour des aides de Cahors à Montauban (1/3)
1661 : transfert de la Cour des aides de Cahors à Montauban (2/3)
1661 : transfert de la Cour des aides de Cahors à Montauban (3/3): https://www.vexilla-galliae.fr/civilisation/histoire/ceh-1661-transfert-de-la-cour-des-aides-de-cahors-a-montauban-3-3/
Permanence des révoltes antifiscales, 1653-1661 (1/3)
Permanence des révoltes antifiscales, 1653-1661 (2/3)
Permanence des révoltes antifiscales, 1653-1661 (3/3)
Découverte et esprit scientifique au temps de Louis XIV (1/2)
Découverte et esprit scientifique au temps de Louis XIV (2/2)
Louis XIV au Château de Vincennes (1/3)
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Louis XIV au Château de Vincennes (3/3)
1661 et les arts : prise de pouvoir ou héritage ? (1/2)
1661 et les arts : prise de pouvoir ou héritage ? (2/2)
La collection de tableaux de Louis XIV
Du cardinal Mazarin et du Jansénisme (1)
Du cardinal Mazarin et du Jansénisme (2)
Du cardinal Mazarin et du Jansénisme (3)
Du cardinal Mazarin et du Jansénisme (4)
Du cardinal Mazarin et du Jansénisme (5)
Du cardinal Mazarin et du Jansénisme (6)
Du cardinal Mazarin et du Jansénisme (7)
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Du cardinal Mazarin et du Jansénisme (10)
Voyager avec Jean de La Fontaine à travers la France de l’« avènement » (1)
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