Appel à l’action (3/4) – Retirons nos enfants des écoles !
« Les enfants appartiennent à la famille générale, à la république, avant d’appartenir aux familles particulières. »
— Bertrand Barère, 1794
« Pour donner la liberté du choix, il faut être capable d’arracher l’élève à tous les déterminismes, familial, ethnique, social, intellectuel. »
— Vincent Peillon, 2013
Vous êtes enfermés chez vous, mais les enfants vont à l’école : de qui se moque-t-on ? Analysons : masques dès six ans, inculcation de la peur et exposition d’un monde d’adultes lâches et peureux, nuls et paralysés. Quelle sera la société qu’ils constitueront ? Il faut sauver ceux qui peuvent l’être ! Gardez vos enfants avec vous pendant ce confinement et ne jouer pas le jeu républicain ! Les théoriciens de la république, d’hier et d’aujourd’hui, n’ont même jamais caché leur volonté d’embrigader les enfants, d’en faire de bons « citoyens », de bons esclaves de la république par l’intermédiaire de l’École…
Alors gardez vos enfants et convainquez les parents que vous côtoyez de faire comme vous : il suffit d’un peu de bon sens, on sent bien que rien ne va plus : masques, tests, peur…! Qui veut de cela pour ses enfants ? Personne !
Dans Le Courrier de la Mayenne, une mère de famille témoigne : « C’est en regardant le discours du président de la République à la télévision que j’ai fait ce choix. Mes tripes ont parlé. C’était un instinct de protection de mère, mais aussi et surtout de la protestation ». Cette année, elle a décidé de retirer sa fille de 9 ans de l’école : « Le masque est le symbole fort d’un gouvernement qui instaure quelque chose qui fait peur. Je ne veux pas que ma fille vive dans un monde où tous les visages sont bleus. Quand on a perdu une liberté, on ne la retrouve pas. Je sais que ma fille se serait habituée à porter le masque. Mais ce n’est pas parce qu’on se fait à quelque chose que cette chose est normale. Pour l’instant, c’est le masque, mais que nous réserve-t-on à l’avenir ? »
Depuis la rentrée, la mère de famille n’a jamais regretté ce choix. « J’avais peur, je ne m’en sentais pas capable dans le sens où je travaille aussi depuis chez moi, raconte-t-elle. Mais honnêtement, je suis ravie ! » Sa vision de l’enseignement a « totalement changé ». Chaque journée, deux ou trois heures sont consacrées au suivi du programme scolaire. « Et si ma fille veut aller s’informer sur internet ou regarder des émissions en lien avec le programme, elle peut. C’est même elle qui a envie de découvrir ! » Alors qu’avant, les devoirs le soir ou le week-end pouvaient s’avérer compliqués…
Quant au risque de voir sa fille s’isoler ? « L’école est dans le cartable. On peut aller où on veut, quand on veut. On se rend compte que les liens familiaux sont les plus intéressants, il faut les renforcer. Ma fille continue de voir une bonne copine. Nous allons aussi pouvoir rendre visite ensemble à son arrière-grand-mère qui habite loin et souffre de solitude. Désormais, nous avons une liberté formidable. »
Alors gardez vos enfants chez vous, et, quand cela est possible, convainquez d’autres parents pour créer des foyers de résistance, et faire lever une vague d’absentéisme. Aussi, quand vous le pouvez, liguez-vous entre parents pour assurer l’éducation des enfants dans l’intervalle. Vous pouvez également vous rapprocher des associations défendant l’Instruction en Famille (IEF) si vous envisagez la déscolarisation pour tout le restant de l’année.
Le pays est si désorganisé que ce genre d’actions clandestines peut se faire à peu de frais et sans grand risque mais pour des fruits très grands : reconstitution de familiarités locales, entre familles, et réappropriation de l’éducation par les familles !
L’idée est aussi de mener un apostolat royaliste auprès des familles qui ne connaissent pas encore notre bon roi : montrez-leur que vous êtes différents ! En étant prudents toujours, mais sans être trop prudent pour autant.
Cette action ne se borne pas aux parents ! Les grands-parents, les oncles et le reste de la famille doivent également encourager cette politique de retrait de l’école, en fournissant le confort moral et pratique, voire du muscle, quand il le faut !
Paul de Lacvivier
- Premier volet : Prions et sacrifions !
- Deuxième volet : Assurons le maintien du culte !
- Troisième volet : Retirons nos enfants des écoles !
- Quatrième volet : Trinquons ensemble pour le Roi !
Quand nos écoles confessionnelles ne sont “qu’admises” par la ripoublique !!!!
La formule que vous citez de Barère de Vieuzac fut reprise par Vincent Peillon il y a quelques années. Elle correspond à une constante républicaine. Cela dit, si l’on n’est pas capable de fournir une instruction valable à nos enfants, il est préférable de les mettre dans une école, à la condition de suivre l’enseignement qui y est donné. De nombreux professeurs ou instituteurs doutent aujourd’hui de leurs dogmes. Il faut aussi les aider à s’en libérer.
Pour aller dans le sens de Monsieur Pierre de Meuse, beaucoup d’enseignants de l’enseignement public, et beaucoup plus qu’on ne le croit, aimeraient bien se libérer du carcan étouffant imposé par les gyrovagues et autres idéologues patentés qui sévissent malheureusement rue de Grenelle…