Points de vue croisés :
La Chrétienté : un joyau qu’il nous faut assumer !
Vouloir combattre l’Islam radical en France et laisser s’épanouir un Islam modéré est un leurre. C’est une imposture, l’Islam est un et indivisible, c’est une insulte à la Raison et à la Morale.
L’Islam n’est pas dans le prolongement du Christianisme, les musulmans considèrent Jésus comme un prophète dont la mission fut d’annoncer la venue de Mahomet, rien que ça. Mais voir la réalité en face, c’est admettre une autre vision des choses, à savoir que Mahomet est l’antithèse du Christ. L’Islam est l’antithèse du Christianisme. Le Dieu de l’Islam n’est pas le Dieu des hébreux, bien au contraire, c’est un Dieu destructeur créé par un faux prophète.
Le Christ avait mis en garde contre les faux prophètes reconnaissables à leurs actes. Si l’Islam ne disparaît pas, ce sont les sociétés occidentales qui tomberont. Les forces du mal se trouvent du côté des islamistes. Le coran, livre de guerre et de haine, avec tous ses versets sataniques. Le développement actuel de la situation mondiale semble bien nous permettre de distinguer que ce temps approche à grand pas, l’Antéchrist : « Par tous les moyens, Allah est avec vous, tuez les résistants, puis devenez les dominateurs des peuples conquis », crie un imam. Le message est bien clair, faire disparaître la Chrétienté dans le monde, car nous sommes tout près d’une vaste conquête de l’Islam également en France et dans toute l’Europe.
Pourquoi sur notre territoire aidons-nous à voir fleurir toutes ces mosquées ? Ce ne sont pas l’égal de nos églises. Loin d’être un lieu de culte, leur seul but est de diffuser la charia, et d’inciter les fidèles à une doctrine de la violence, au lieu de les inciter paisiblement à s’assimiler dans la culture française.
Seul un Roi pour la France pourrait redonner un sens à notre histoire et à notre vie de tous les jours. La forme de gouvernement monarchique n’est pas un obstacle à la démocratie. Il serait au contraire l’essence même de notre être. Rappelons-nous la nature divine, dès sa naissance, de notre monarchie, le Roi de France est le fils ainé de l’Église. La monarchie française est liée au catholicisme, son pouvoir temporel est soumis au pouvoir divin et, de ce fait, à l’abri des intérêts particuliers.
Éric Muth
Allah n’y est pour rien !
Non Allah n’y est définitivement pour rien ! Une telle assertion ressemble à s’y méprendre au titre identique d’une étude de l’insupportable Emmanuel Todd et, pourtant, on ne peut qu’y souscrire et cela mériterait d’être dit, redit, asséné, péroré, clamé, proclamé… et encore, et encore, toujours plus fort.
En ces temps d’islamophobie exacerbée, d’où qu’elle provienne, de la gauche la plus laïcarde à la droite la plus nationaliste, une forme d’union sacrée semble s’être reconstituée autour d’un simple mot d’ordre : bouffer de l’imam comme hier l’on bouffait du curé.
Que l’Islam constitue, par son expansion actuelle, une menace pour l’identité européenne et, par la radicalité qui teint peu à peu ses aficionados, cela est une évidence qu’il n’y a lieu à débattre qu’entre aveugles volontaires. Mais en faire l’Alpha et l’Omega de toutes les turpitudes que traverse notre vieille civilisation, c’est au mieux un non-sens, au pire une malhonnêteté coupable.
Non, ce n’est pas l’Islam qui a cassé, méthodiquement et systématiquement, toute l’ossature de la civilisation française. Ce n’est pas l’Islam qui a combattu le catholicisme et vidé les églises, arraché les calvaires, ridiculisé le Pape, l’Église, les saints, la Bible… pas plus qu’il n’a permis hier l’avortement et aujourd’hui le « mariage » gay.
Ce n’est pas l’Islam qui contrôle les banques d’affaires et les centres boursiers, principaux adversaires du modèle catholique social. Ce ne sont pas les musulmans, enfin, qui contrôlent les écoles où l’on enseigne la haine de la France pour base et le mondialisme pour horizon. Ce ne sont pas les musulmans qui tentent d’imposer leur « morale laïque » même dans les écoles confessionnelles chrétiennes.
Et pour finir, rappelons, puisque Vexilla Galliae entend promouvoir la restauration de la royauté en France, que ce ne sont pas les musulmans qui ont fait tomber la monarchie française. Que ceux-là même qui ont en horreur voiles et coran haïssent, souvent viscéralement, tout ce qui se réfère à l’héritage de l’ancienne France.
Si les Français ne s’aiment plus aujourd’hui, si les Français ont perdu leurs repères et laissé mourir leurs valeurs, si les Français sont devenus un peuple irréligieux qui s’est détourné de Dieu (et en paie les conséquences)… les musulmans n’y sont pour rien, absolument pour rien.
Cela implique-t-il qu’il faille demeurer indifférent aux persécutions des chrétiens partout dans le monde musulman ? Ignorer les pressions communautaires en France et les velléités de conquête de plus en affirmées de la part des membres les plus excités de la communauté musulmane ? Ne pas s’inquiéter des risques qui pèsent sur nos libertés, notre mode de vie, nos cultures et notre identité ?
À toutes ces questions, il convient bien naturellement de répondre par la négative : l’Islam, dans la configuration actuelle de sa progression, est bien entendu un problème majeur. Mais il n’est pas (pour l’heure !) notre ennemi ! Et l’islamisme n’est pas, pour nous, aussi dangereux que le modernisme, le laïcisme ou le matérialisme.
Mais il y en a qui voudraient nous enfermer dans une alternative dichotomique, nous forcer à opérer un choix entre l’Islam et « l’Occident ». Nous sommes mis en demeure d’accepter une alliance objective avec tous ceux qui ont contribué à anéantir le catholicisme en Europe et la royauté en France, ou bien être prêts à assumer une complicité objective avec les terroristes qui tuent des soldats français. Un chantage dont la mécanique bien huilée semble aujourd’hui prendre.
Que des athées républicains s’inscrivent dans cette démarche n’a rien d’étonnant, eux pour qui la haine de la religion (catholique ou musulmane) est une raison d’être. Mais il est désolant de voir tant de catholiques et de royalistes, pour des raisons différentes ou similaires, tomber à leur tour dans ce piège… pour nous entraîner dans une guerre de civilisations qui n’a jamais été ni le but, ni la volonté de l’Église catholique ou des rois de France.
Stéphane Piolenc
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