Une taxe sur la respiration ? C’est déjà fait !, par Rémi Martin
Les révolutions ont au moins ceci de divertissant que leurs contradictions internes et leur absurdité consubstantielle nous donne une matière infinie à nous faire rire – certes jaune quand l’on sait les dégâts occasionnés.
Vous vous souvenez peut-être dans de vieux manuels d’histoire de toutes ces taxes révolutionnaires les plus absurdes les unes que les autres, comme celle lors de l’Empire sur les portes et fenêtres !
Et notre chère Gueuse en chef nous donne une pléthore de taxes plus exotiques les unes que les autres et cela depuis des décennies.
Et, de temps en temps, j’ai eu pu entendre un plaisant dire : « vous allez voir qu’ils vont taxer l’air que nous respirons ». Mais en fait… c’est déjà le cas !
Le port du masque obligatoire revient à une taxe sur l’air que nous respirons, puisqu’en pratique nous sommes forcés d’acheter des masques, dont le prix constitue cette fameuse taxe, pour pouvoir légalement respirer à l’extérieur de nos maisons ! (et bientôt dedans aussi qui sait…)
Nous sommes au bout du bout de la logique révolutionnaire mondiale qui ne cesse pas : cette taxe est plus ou moins importante selon les pays (en fonction de l’interdiction ou non de porter un masque lavable, qui abaisse mécaniquement la taxe sur la respiration), mais elle est là !
Alors la prochaine étape, déjà en cours de route peut-être avec l’autre fameux texte, est la taxe sur le droit d’exister ? Via la piquette empoisonnée, et peut-être bientôt le passeport parental pour avoir le droit d’avoir un enfant – trafiqué par sélection génétique évidemment, survivant entre une fratrie massacrée et/ou congelée ?
La révolution n’aura jamais fini de nous étonner dans son inventivité de l’absurde pour le malheur du plus grand nombre. Quoique toujours moins que le bien, le beau et le vrai, qui vainquent toujours.
Rémi Martin
Pour Dieu, pour le Roi, pour la France !