Social et économie

La tarte à la crème juive, par Antoine Michel

C’est une spécialité bien républicaine, et judaïque, une douceur amère de la censure au nom de la liberté d’expression.

Quand on veut vous « terminer » médiatiquement et moralement, avant que ce soit physiquement via les milices d’extrême-gauche qui, elles, peuvent insulter les juifs – quand de l’autre côté en général on ne fait qu’analyser de l’histoire – sans risquer quoi que ce soit, on vous sort les accusations aussi classiques qu’ennuyeuses et plates « d’antisémitisme » et tous les autres vocables doux des furieux républicains, démocrates et talmudo-cabbalistes de toute sorte.

La spécialité est ancienne, et elle profite d’une recette, mieux une partition, bien rodée : déjà en son temps le papa Le Pen s’était fait écorché sur ces points.

C’est encore le prétexte pour dissoudre des Civitas et autres associations « terribles ».

On ajoute le petit mot « facho » et tout est fini, et tout est bon : car vous êtes finis, et vous êtes bons pour la destruction.

Il semble néanmoins que ce genre de propagande porte de moins en moins : peut-être même, avec une population de plus en plus islamique, et l’expérience ancienne de notre pays avec les juifs, l’argument commence à avoir un contre-effet, qui vaut même pour l’opinion comme une médaille militaire du mérite politique, d’avoir eu l’honneur d’être accusé d’antisémitisme ou autre, lors même que pour les trois quarts des cas, personne n’en parle et tout le monde s’en fiche.

Les sionistes ont vraiment eu le beurre et l’argent du beurre, quand on y réfléchit : ils furent de grands collaborateurs tant des gouvernements capitalistes, l’Angleterre en tête, que du troisième Reich, pour la création d’Israël et « l’encouragement » à migrer en Palestine – et la politique allemande d’avant-guerre fut une aubaine pour les sionistes, qui n’auraient jamais pu obtenir autant sans eux, et certainement la création d’un État !

Ces mêmes sionistes profitent du malheur de leur propre peuple pour capitaliser sur leur cause, et pour imposer un système de terreur mensonger pour clouer le bec de tous ceux qu’ils considèrent comme ennemi.

En pratique, les « juifs » en France sont liés fondamentalement à la République, et la question juive est consubstantiellement liée à la question républicaine : vous attaquez la République, on vous accuse d’antisémitisme, à l’inverse, vous dénoncez le talmudisme et les implications cabalistiques de la synagogue, voire des rapports des juiveries médiévales avec certains foyers d’hérésies, alors vous attaquez aussi la démocratie et la République.

Ce qui est en fait vrai, et c’est à raison : l’un et l’autre, dans la pratique révolutionnaire française, et dans le mondialisme (révolution mondiale) sont très liés.

Il ne s’agit pas des personnes, toujours victime, mais du dogme talmudique et de l’ésotérisme cabalistique, mais aussi des pressions et des réseaux, bien repérés depuis longtemps, des officines juives publiques et moins publiques.

La CRIF fait la pluie et le beau temps en République,e t out bon président de la République se doit de visiter avant et après son élection deux institutions : le Grand Orient, et le CRIF.

Tout est dit, c’est symbolique, et c’est pratique.

Alors la tarte à la crème juive ne marche plus.

Et ils ont raison de se faire du soucis, et ils devraient rapidement devenir royalistes.

Car des païens ou des musulmans en face de juifs, ça se passe en général très mal pour le perdant.

Nous, chrétiens, et vrais juifs – en ce sens où nous sommes les vrais héritiers de Jésus-Christ, et donc du peuple élu par Dieu, hébreux -, nous savons par notre dogme que la synagogue se fonde sur la négation du Christ et de tout ce qui est catholique, qu’elle est une contre-Eglise, et que dans l’histoire ses chefs ont toujours été un facteur agressif et dangereux tant pour la Foi, que pour l’Église mais aussi pour la société politique.


Sauf que nous chrétiens, nous prions pour leur conversion, et comme Saint Louis, nous cherchons leur bien, et nous les tolérerons toujours…mais sans naïveté.

Ils sont traîtres à la fois de leurs pères, mais la plupart ne le sait pas, car on leur enseigne des mensonges… C’est triste.

Seule une solution royale et chrétienne peut régler ce problème juif, comme d’ailleurs le problème musulman, sans que le sang ne coule, et en justice.

Pour Dieu, pour le Roi, pour la France

Antoine Michel

Une réflexion sur “La tarte à la crème juive, par Antoine Michel

  • “dans l’histoire ses chefs ont toujours était (sic) un facteur agressif et dangereux tant pour la Foi, que pour l’Église mais aussi pour la société politique” écrivez-vous. Petit conseil d’ami : pour avoir été interdit d’expression pour moins (ou presque !) que ça sur les réseaux sociaux vous devriez vous méfier de la pensée conforme et obligatoire et de son bras armé, l’article 40 du code de procédure pénale. Et ne comptez pas sur Marine Le Pen (qui vient de descendre en flèche le député RN Roger Chudeau pour n’avoir rien dit d’autre que l’évidence à propos de Najat Belkacem) pour vous venir en aide…

    Répondre

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.