Ce que préparent nos ennemis. Témoignage.
Je me trouve dans une position quelque peu étrange pour un catholique fidèle au roi de France : je travaille dans l’une des principales industries financières du pays… et à l’étranger ! Je suis loin des pressions et des intrigues parisiennes, tout en pouvant constater, par ricochet, les tendances délétères du centre — il me suffit par exemple d’ouvrir la première page de notre intranet pour tomber chaque jour sur de nouvelles folies découlant de la révolution arc-en-ciel… Je bénéficie d’un autre avantage pour connaître les lignes officielles des dirigeants de l’institution — ceux-là même qui participèrent activement à l’élection de la marionnette qui fait office de président de la république en France —, puisque le chef de mon chef ne se trouve que deux crans au-dessous du PDG, or la nature de mon travail m’oblige à me trouver régulièrement exposé à ces pontes.
Précisons un autre aspect de contexte : je me trouve dans un pays lointain où la folie sanitaire n’égale en rien celle de nos contrées françaises. Ici, la population, blasée par la manifeste bénignité de la dite pandémie, vit à nouveau normalement ; certes, par politesse, on porte le masque dans certains endroits exigus, mais plus personne ne s’en fait — il n’y a d’ailleurs aucune restriction légale des libertés, à part la fermeture des frontières, acte souverain par excellence ; bref, l’inverse de chez nous !).
J’en viens à mon témoignage. L’autre jour, le chef de ma branche rencontre « les jeunes », dont je fais partie, pour un café matinal — un rituel occasionnel, histoire de nous faire croire qu’il nous écoute et qu’il fait remonter nos avis, le jeunisme (cette idée absurde selon laquelle le jeune saurait forcément mieux que le vieux) étant à la mode depuis quelques décennies. Ici, il avait « quelque chose d’important à nous dire »… À part les entreprises américaines, qui assignent tout le monde chez soi, les entreprises ont toutes repris un fonctionnement complétement normal. Mes collègues, tous asiatiques — à l’exception d’un autre Français perdu aux confins du monde —, s’attendaient donc à ce que notre chef nous annonce enfin la fin des mesures stupides qui nous sont imposées — rotations entre maison et bureau, distances sociales, masques, etc.
Mais là, patratra ! Dixit le chef : « Je ne veux pas vous faire peur mais… ». Mouais… on comprend déjà ce qui va venir ! « La seconde vague est clairement là en Europe, c’est un fait ». Aïe, alors, c’est ça qu’il faut croire… « Le couvre-feu en France a été décidé, c’est que c’est grave. » Comme si nos gouvernants et autorités étaient dignes de confiance ! Ce qui est fou, depuis le début de la crise, c’est que le « chef » ne décide de rien. Il ne fait qu’appliquer les directives d’en haut… Le plus fort, c’est qu’il le fait certainement en croyant que c’est lui qui décide ! La manipulation est parfaite !
La citation suivante est approximative, mais en substance :
« En Europe, le milieu s’accorde pour dire que le « mode crise » [entendez : restrictions des libertés, à commencer sur le lieu de travail] durera au moins jusqu’à fin 2021. Après, il y aura une nouvelle normalité, puis un post-nouvelle normalité, horizon fin 2022. »
J’ai été sidéré d’entendre ce discours, si loin de la France, et en telle contradiction avec la réalité de la crise sanitaire ! Ils ont la volonté de nous réduire en esclavage ! Et ils ont déjà en partie réussi ! N’oubliez pas que chaque mesure est aussi un test : moins vous réagissez, plus ils iront loin ! Ils ont les mains libres. La caste mondialiste, vous avez bien lu, veut nous enfermer, nous humilier et nous esclavagiser jusqu’à fin 2021 au moins !
Alors, il faut se lever, sinon la dictature totalitaire s’installera durablement en France ! Elle est déjà présente ! Réveillez-vous ! Il faut résister par tous les moyens. De façon prudente et dans nos possibilités, évidemment, mais il ne faut jamais céder sur des points non négociables, sinon nous allons à la catastrophe !
Paul de Beaulias
Pour Dieu, pour le Roi, pour la France !