Quand le corona a failli me blesser…
Pas la bière je vous rassure, je parle du virus.
J’étais au bureau comme à l’accoutumé. Depuis quelques semaine la vague d’inquiétude montait, je n’y faisais pas vraiment attention – nous venions d’ailleurs d’avoir le mercredi des cendrse qui nous rappelle que nous reviendrons à la poussière, alors le corona…
Les hommes sans Dieu s’affolent eux, et les faux chefs font semblant de prendre de vrais « fausses décisions » de prévention. Masques, gels, restriction de voyages… Pourquoi pas combinaisons, travail en bloc et tout tant qu’on y est ! Mais non, il faut bien quand même protéger le chiffre d’affaires, avant de protéger les employés, n’exagérons rien…
Bref, depuis quelques jours des cosmonautes de l’hygiène passaient et repassaient dans les étages, à vous désinfecter à tout crin crin partout et tout le temps – certains doivent se faire un de ses pactoles avec ces histoires…
Moi, naïf, je vais aux toilettes, sans craindre la menace rampante qui approchait…
De retour des toilettes, je vais pour ouvrir la porte de mon bureau – malheur m’en a pris !
J’étais guilleret, je ne sais pas pourquoi, alors je vais pour prendre la poignée franchement, et là, patatras : elle était trempée de gel hydroalcoolique, comme ils disent.
Je ripe, je glisse, je manque de faire un salto et de m’écraser contre la porte et me vautrer par terre…
Heureusement mon ange gardien ma protégé.
Merci la prévention en tout cas…
Soyons prudent (pas pour le corona, mais pour l’épidémie de peur qui est bien plus dangereuse).
Pour Dieu, pour le Roi, pour la France,
Antoine Michel
Amen, c’est l’épidémie de peur qui est la plus redoutable. C’est à DIEU seul que nous devons nous accrocher et que nous devons SEUL craindre.