La haine est aux révolutionnaires et la vengeance à Dieu, par Antoine Michel
La gauche révolutionnaire a des mots doux à notre égard… Sur X, un message tourne beaucoup depuis le compte d’un membre de l’Action antifasciste et soutien du nouveau Front rouge :
« Rappel aux catholiques : vous finirez au bout d’une corde »
Répondons-leur tranquillement :
Rappel aux apostats : vous finirez en enfer avec le diable si vous ne vous convertissez pas ;
Rappel aux pécheurs impénitents : vous finirez en enfer avec le diable si vous ne vous convertissez pas ;
Rappel aux tièdes : vous êtes vomis de Dieu et vous finirez en enfer si vous ne vous convertissez pas ;
Rappel aux incroyants, païens et sectateurs des fausses religions : vous finirez en enfer si vous ne vous convertissez pas.
Sincèrement, ces vérités nous attristent pour eux, mais elles nous rendent aussi plus sereins, car elles pacifient nos âmes en nous rappelant que Dieu est le Juge Suprême et en nous rapprochant de Jésus à la Passion.
Les catholiques savent bien, selon l’enseignement du Nouveau Testament, que la vengeance n’appartient qu’à Dieu, et que nous ne devons donc pas nous faire justice nous-même, mais laisser Dieu juger et les autorités légitimes faire justice, pour le bien de tous, des victimes comme des coupables. Nous le savons : « Voici, le juste reçoit sur la terre une rétribution ; combien plus le méchant et le pécheur ! » (Pv 11, 31).
Mais ces gauchistes doivent savoir que nous ne sommes pas des Bisounours et que la légitime défense est… légitime. Comme Saint Pierre sur le mont des oliviers nous n’hésiterons pas à tirer le glaive et à frapper la soldatesque agressive, et si Jésus nous demande de rengainer, nous rengainerons. Nous soignerons l’ennemi comme un frère, ce qui ne nous empêchera pas de nous battre par charité, pour défendre les fragiles et les faibles, ceux qui pourraient tenter d’apostasier sous la menace.
Ne nous affolons pas de cette haine qui nous rappelle salutairement le mystère du mal : les plus haineux sont aussi ceux qui peuvent aimer le mieux, quand ils le veulent bien. La haine et l’amour sont les deux faces d’une même pièce, la force de répulsion pour s’éloigner de l’être honni peut devenir une force d’attachement si elle est tournée vers le rapprochement. Alors, qu’ils se tournent vers le Seigneur, car ils le savent, ils sont fatigués de haïr ce qui est aimable !
Aussi, pour terminer sur une note d’Espérance, il faut corriger, ou tout au moins compléter l’interpellation initiale :
Rappel aux catholiques véritablement amoureux de Jésus : vous Le retrouverez au Ciel pour l’Éternité !
Antoine Michel
Pour Dieu, pour le Roi, pour la France !