Injustice républicaine : 2 mois de records idiots
Nous avons assisté ces dernières semaines à un florilège de ce que la Justice républicaine peut produire de mieux.
Nous avons eu droit à la très médiatique relaxe du logeur des terroristes, Jawad Bendaoud qui s’est permis quelques sorties assez créatives lors de son procès : « Je suis fini, que je mente ou pas. Qui va m’embaucher dehors? J’avais un projet de point de vente de cocaïne. Qui va s’associer avec moi? »
Ces mêmes médias sont étonnamment beaucoup plus silencieux lorsqu’il s’agit de reconnaître leurs torts suite aux nouvelles révélations sur l’affaire Théo (Une vidéo contredit la version officielle). Affaire qui a démontré l’emballement malsain à manipuler les masses et la soif de récupération des édiles républicaines. Cerise sur le gâteau : le président Hollande a ridiculisé encore un peu plus la prétendue dignité présidentielle.
Ajoutons un ministre de la Justice, Nicole Belloubet, qui explique au sujet des combattants jugés en Syrie qui veulent revenir en France que « bien entendu, s’il y avait une question de peine de mort, l’Etat français interviendrait ».
Que dire encore de l’habitant de Garges-Lès-Gonesse qui a récupéré sa maison squattée par 16 roms avec l’aide d’une quarantaine de personnes et qui risque d’être poursuivi pour violation de domicile par les squatteurs ?
Un palmarès de 777 faits de violence gratuite par jour en moyenne, une hausse de 3,24% en 2017.
Ces faits ne sont-ils pas le symptôme de cette république naturellement désordonnée ? Le droit à la propriété privée, pourtant mentionné dans leurs droits de l’homme (article 17), passe après des postures idéologiques. L’Etat républicain abandonne son devoir régalien de protection des habitants en se préoccupant des bourreaux tandis que les victimes se retrouvent elles-mêmes devant la justice pour avoir voulu défendre leurs biens ou leur vie. Là où l’on observe, sous couvert de bureaucratie, une dissolution des responsabilités individuelles des serviteurs de la république, le Roi chrétien capétien dans une France respectueuse du droit naturel est personnellement responsable de la Justice, les magistrats qui sont les délégataires de son pouvoir judiciaire, doivent ainsi lui rendre personnellement compte de leurs décisions.
Nul doute que même après un aussi brillant départ en ce début 2018, la Justice républicaine saura nous offrir encore de bien belles surprises.
Loïc Baverel