[Lettre d’un émigré] Quand la France se « japonise », pour le pire, par Paul de Beaulias

Le Salon Beige nous informe d’une mesure prise à Metz : la création de parkings réservés aux femmes. La mesurette vise à protéger les femmes, si encore cela les protégeait, contre les viols de clandestins africains dont la ville a été victime dernièrement.

Si la situation n’était pas si grave, on rirait presque de la réaction dérisoire face à des crimes aussi graves que des viols, de plus par des personnes déjà en situation irrégulière… Plus paradoxal encore : dans la République révolutionnaire qui veut effacer les sexes en parlant de genre, la réalité, bien têtue, force à rappeler des évidences, comme le fait que ceux sont des hommes qui violent des femmes, et nonle contraire. De même qu’un homme peut se dire femme, mais sera toujours en moyenne supérieure physiquement aux femmes (et rafler toutes les médailles dans les compétitions sportives).

Que cela évoque-t-il à l’émigré français vivant au Japon ? Il se dit que la pauvre France se paganise à vue d’œil, et se japonise… Ici, au Japon, il n’y pas encore vraiment beaucoup d’immigrants, c’est même dérisoire comparé à la France. Les valves sont ouvertes depuis quelques années, et les problèmes arriveront d’ici quelques années ou décennies, mais tout cela reste encore à l’état hypothétique.

Malgré l’absence d’immigration, et la sécurité élevée du Japon, qui est même proverbiale parmi les touristes, il existe depuis très longtemps des espaces interdits aux hommes (ou si vous préférez, réservés aux femmes) pour des raisons de « tranquillité » des femmes, qui sont importunées par des hommes.

Le plus connu certainement sont les wagons de trains de tête, pendant les heures de pointe, réservés aux femmes, pour éviter les attouchements. Il existe aussi de nombreuses cliniques, salles de sport, salon de massage et autres qui sont réservées aux femmes.

Cela témoigne certainement de ce qui se passe de façon assez inévitable en pays païen, qui a par définition, une morale sexuelle tout à fait relâchée par rapport à la morale catholique. En pays païen, la seule chose qui compte est la « paix sociale » et le « pas de vague », et donc cela vaut aussi pour les actes sexuels : tant que cela ne provoque pas de guerres de clans, on peut faire n’importe quoi (voyez cet article).

Inversement, cela signifie que, par force, et quelque soit le haut niveau de civilisation supputé, il n’y a pas de véritable combat contre ces débordements sexuels, dont les pulsions sont plutôt masculines et se manifestent par des viols. Il faut donc en réduire l’effet nuisible pour les femmes lambda : c’est l’avènement de ces espaces réservés aux femmes seules…

Ce genre de phénomène, à savoir l’existence d’espaces réservés aux femmes, et cela; décidé par des entreprises, des communes, ou autres, montre bien qu’en pratique il y a une réalité d’agressions sexuelles – même si elle est cachée, comme au Japon, puisqu’on n’en parle presque jamais.

L’immigration massive de pays encore barbares (puisque christianisés, quand ils le sont, de façon récente) accélère le mouvement : la France déchristianisée tombe de plus en plus dans une paganisation rapide, avec le retour de réflexes païens inévitables pour maintenir un semblant d’ordre dans un désordre général tristounet…

Pour Dieu, pour le Roi, pour la France

Paul de Beaulias