La République ou le règne de l’étranger !
(écrit le 16 mars)
Nous le savions depuis un certain temps, mais la République livre un combat à mort contre la France, et elle s’en vante dans les faits.
Macron et les autre huluberlus ne trouvent rien de mieux que de prendre des mesures communistes face à la population faible des français – on verra si les populations allogènes des banlieues se laisseront faire, mais ils le devraient, car ils ne sont pas plus courageux que d’autres – et d’affirmer que tout ce qui pourrait sembler être un acte de souveraineté français sera rejeté par principe : on va d’abord discuter au niveau de l’UE, on va juste fermer l’espace Schengen mais certainement pas nos frontières nationales.
Méfions-nous : ces républicains d’égouts sans foi ni loi vont tenter de profiter de la situation pour affirmer le totalitarisme républicain. On ne fait rien face à des hooligans qui vont quand même fêter on ne sait quel match, mais la police attend à la sortie d’une messe pour donner des amendes… La folle de service prévient du danger de l’augmentation des violences conjugales… C’est un secrétaire d’Etat… Tout à fait symbolique de l’état de déliquescence avancé de toute autorité, jusqu’à quand les gens le supporteront ?
Pour eux, effectivement, rien de plus dangereux que cette situation où la famille retrouve sa place, comme premier fondement et rempart de la société : sait-on jamais, le goût de l’indépendance familiale et de l’école à la maison se répandra dans les familles française, peut-être, qui sait.
Et si des communes décidaient de remettre des frontières intérieures pour se défendre ? Avec la collaboration des « forces de l’ordre » abandonnant enfin le fauteur de désordre, l’Etat.
Avouons que si la situation ne dégénère pas en guerre civile la gloire n’en reviendra pas à la terreur d’état et les menaces autoritaristes mais à tous ces particuliers de bonne volonté et charitables qui se dévouent pour le prochain et dans leurs métiers.
En espérons aussi que tout le clergé se réveille enfin et prenne conscience du devoir de reprendre sa légitime indépendance et d’offrir le sacrifice de la messe, dont notre monde a besoin plus que jamais.
Le bras du Dieu vengeur s’alourdit, et nos prières faiblissent… Pas besoin d’être un génie pourra voir où nous conduira tout cela si nous ne nous convertissons pas massivement – à commencer par ceux qui sont censés être ardents croyants d’abord.
N’ayons pas peur pour nos vies terrestres mais craignons pour nos âmes et les âmes de nos proches.
Tournons-nous vers Dieu en ce carême,
Tournons-nous vers le Roi aussi, car sans un lieutenant de Dieu digne de ce nom, qui sur cette terre sera l’instrument de la conversion, et de la restauration de la foi au sein de l’Eglise ?
C’est un nouveau Clovis ou Charlemagne dont nous avons besoin urgemment.
Pour combattre les ennemis de la foi et les ennemis de la nature.
Au prix des messes souterraines s’il le faut !
Et les ennemis de notre pays, les grouvernants, de véritables fonctionnaires européens dont les ordres sont d’autant moins souverains qu’ils sont totalitaires avec les pauvres français sans défense.
Pour Dieu, pour le Roi, pour la France,
Antoine Michel