La censure continue…avec perversité., par Paul de Beaulias
Il est aujourd’hui bien connu que les grandes plateformes, en particulier américaines, censurent à tout va. Cette censure est toutefois bien plus discrète et perverse que les débuts fanfaronnant de la défaite de Trump et des débuts du Covid : aujourd’hui, on se fait « blacklister », ou coincer en étant moins visible, et sans qu’on en soit informé.
L’arresation récente du chef de Telegram en France pour ce qui paraît un prétexte à justifier une censure plus grande, et à “terroriser” ceux qui ne joueraient pas le jeu, manifeste cette tendance totalitaire à la jacobine qui ne devient que de plus en plus prégnante depuis 2001, puis le sattentats, puis le COVID – dans un contexte où les conséquences d’une déchristianisation et d’une éducation révolutionnaire rend les gens plus barbares aussi, il faut le reconnaître.
Il y a aussi des sujets interdits dont la publication entraîne immédiatement une censure, et d’autres qui le sont mais sans être assumés par ces plateformes.
Prenons un exemple simple : un article du salon beige relatant un fait assez gênant pour les démocrates américains.
“Je ne sais pas comment un catholique peut voter pour les démocrates” – Le Salon Beige
Votre serviteur traduit l’article en japonais et le publie sur un blog sans prétention, jusque-là tout va bien.
Puis votre serviteur tente de le publier sur ses diverses pages FB…et patatras la publication se fait bloquer sous prétexte que, je cite: “votre visée est commerciale. Vous cherchez à faire des vues ou des clics” Vous protestez, et vous gagnez la protestation, la publication est rétablie…mais elle reste privé, et vous ne pouvez pas la partager – FB vous dit qu’une erreur s’est produite, comme si c’était technique.
Et cette « erreur » persiste indéfiniment…
Espérons que les objets de la censure restent encore essentiellement américains.
Sachons aussi que tout ce que vous voyez, et qui vous plaît, ne retranscris pas la généralité de ce qui est publiée, mais on vous montre ce que vous voulez voir, ce qui rend plus compliqué à des gens lambda, qui ne connaissent pas nos idées, d’y accéder, à part hasard de connaissance, ou chance insigne de passer outre certains algorithmes…
Apprenons à naviguer…
Et sachons que le nombre de vue importe peu, qu’il faut privilégier autant que faire se peut la relation réelle et physique.
Cela n’empêche d’user avec habileté des ces outils, mais sans croire que cela va changer la donne de façon miraculeuse…
Pour Dieu, pour le Roi, pour la France
Paul de Beaulias