La barbarie en marche, par Antoine Michel
Le désordre révolutionnaire s’approfondit, et les conséquences deviennent de plus en plus incontrôlables.
Nous ne parlerons même pas du cas Lola, absolument effrayant. Il choque certains, mais ni le gouvernement, ni les jacobins. Après tout, entre barbares, on se comprend.
Quand on voit aussi que la seule réaction c’est : « le problème de la psychiatrie en France » (article Figaro du 24 octobre), on pleure… Si c’était psychiatrique, ce serait rassurant n’est-ce pas…
C’est bien le problème : le révolutionnaire est bien fou, mais ce n’est pas psychiatrique. Il est volontairement barbare, c’est-à-dire fou quand on est civilisé.
Je ne parlerai même pas de l’autre article disant que Macron met des points sur les « i » au Vatican : c’est connu le président de l’église franc-maçonne au dogme laïc doit corriger sa franchise vaticane… (ils n’ont même plus la dignité de se cacher).
Je parlerais ici de l’enchaînement suivant d’articles, où on ne sait plus s’il faut pleurer ou rire : typique de notre société décadente. Je vous laisse jeter un œil.
Le premier serait un canular qu’on en rirait : entre « sexpertes » et autre novlangue, on croirait rêver… et pourtant c’est la réalité. Et cela juste à 22h40… Avec le film porno derrière ?
Mais je crois qu’il faudrait dire aux messieurs du Figaro de faire attention à l’ordre des articles : car en regardant le dernier, on ne peut que se dire qu’il y a, peut-être n’est-ce pas, un lien entre la banalisation de la fornication à toutes les sauces et l’animalisation de l’homme, et la multiplication non pas seulement de violeurs (qui n’existent en pratique en droit, puisque c’est encourager), mais des fous sataniques pédophiles fondant leur pouvoir politique et économique sur le traffic d’enfants, leur abus et la menace sur les autres.
Et entre… La vie « privée » de Louis XV. Encore les fesses quoi. C’est vrai la vie publique et le bien commun doivent manquer de piment.
Heureusement que le col roulé de Benzéma vient mettre un peu de sérieux dans tout cela n’est-ce pas…
Non, mais franchement, il y a des limites à la bêtise…
Pour Dieu, pour le Roi, pour la France
Antoine Michel