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Le 24 mars, et après ? Un chef !

Inutile de revenir sur le succès exceptionnel de la journée de dimanche, ni sur les facultés mathématiques des forces de l’ordre.

Christiane Taubira, qui était au Sénégal, n’a pas annoncé sa démission ni le retrait de son projet de loi. François Hollande est aux abonnés absents (il faut croire que le seuil de consistance d’une manif se situe entre 300 000 et 340 000 selon la police) mais parlera jeudi soir sur France 2.

Déclarera-t-il devant David Pujadas et tous les Français qu’il renonce à la loi Taubira ?

Cette surprise tiendrait du miracle, tant les médias ont occulté la véritable mobilisation et ont monopolisé l’antenne sur les quelques échauffourées. Tous les appareils de l’État sont aux mains de la rue de Solférino et la « marche de l’histoire » est avec eux.

Et pourtant, rien n’est perdu ! En 1984, la loi Falloux fut abandonnée par un président sage et pragmatique.

Mais il convient de se mobiliser autour d’un chef.

Actuellement la kyrielle de porte-parole ne fait pas l’unanimité et certains organisateurs sont clairement controversés.

Un chef qui ne vienne pas du système élitiste de la république, un chef qui ait lui-même une famille, un chef au-delà des médias et des partis qui sache mettre nos gouvernants devant leurs responsabilités.

Un chef qui mène la France avec force et humilité vers la victoire des enfants et de la famille traditionnelle.

L’offre d’emploi est à pourvoir dès que possible. Je vous laisse chercher, même si certains ont une petite idée…

Julien Ferréol

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