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Arrêtez d’attendre l’homme (la femme) providentiel(le)

Dans son excellent livre « La guerre secrète contre les peuples, Claire Séverac apporte l’information suivante : dans un document publié en 1996 par le Scientific Advisory Committee de l’US Air Force, il est envisagé « la possibilité de développer des sources d’énergie électromagnétiques (…) qui pourront être couplées avec le corps humain d’une manière qui permettra d’empêcher les mouvements musculaires volontaires, de contrôler les émotions, d’endormir, de transmettre des suggestions, d’interférer avec la mémoire à court comme à long terme, de produire l’acquisition d’expériences, ou d’effacer des expériences acquises ».

Dans le même chapitre, elle précise : « On ne sait rien de ce qui se passe autour de nous, de notre sort personnel ni des programmes en cours ; on sait seulement qu’ils peuvent cibler un seul organe d’une seule personne ou, avec leurs énormes émetteurs de micro-ondes (ndr : le prototype avait été installé en 1995, près de Gakona, en Alaska), couvrir un pays, une ville, une rue… Même chose avec les substances chimiques que l’on reçoit (ndr : les chemtrails, c’est-à-dire les épandages de nanoparticules d’aluminium et de baryum) et dont les effets sont multiples : induire les mêmes symptômes que la prise de morphine, de marijuana, la sensation de faim… voire une dépression totale, où la seule solution entrevue serait le suicide, ou bien de graves agressions neurologiques ».

Par ailleurs, Claire Séverac explique que « Barrie Trower, ex-agent formé à l’usage militaire des micro-ondes, (…) révèle que les micro-ondes étaient employées couramment, comme elles le sont de nos jours, par les armées et les gouvernements pour nuire à des opposants ou des ennemis en les rendant malades et ainsi les faire mourir à petit feu ». Trower révèle que « les micro-ondes ont été utilisées à Greenham Common contre une manifestation pacifique de femmes qui protestaient contre la présence de missiles américains sur le sol anglais. (…) Quand les résultats sont tombés, il y avait une quantité anormalement élevée de tumeurs, de changements de personnalité et de tendances suicidaires parmi elles. Même chose sur les catholiques d’Irlande du Nord ».

Nous savions déjà que le système électoral est construit de telle sorte que les tenants du pouvoir – les descendants de ceux qui s’y sont installés à la faveur de la révolution française – soient assurés d’y rester. Ce sont les mêmes, d’ailleurs, qui détiennent la grande majorité des media, ce qui leur permet ce délivrer au jour le jour la « bonne propagande ».

Nous apprenons donc, grâce à Claire Séverac, l’ACSEIPICA et bien d’autres sources d’information sur la toile, que même le combat politique traditionnel utilisant les manifestations de rue comme moyen de pression peut être neutralisé par des techniques invisibles du grand public. Certes, cela ne se produira pas pour des manifestations que le système jugera non dangereuses pour sa survie. Mais dès qu’il se sentira réellement menacé – et c’est bien le cas pour ceux, comme nous, qui veulent abattre la république et la remplacer par la royauté – nous pouvons être certains que de telles armes seront utilisées.

Il est donc inutile d’attendre l’homme ou la femme providentiel(le) qui nous sortirait de l’enfer qui nous est imposé. Une telle personne serait très vite éliminée.

Nous ne devons pas nous décourager pour autant. Surtout que nous savons que Dieu veille tout particulièrement sur la France. A nous de nous adapter. Il faut décentraliser l’action en organisant des luttes locales plutôt qu’à Paris, ce qui n’est pas contradictoire avec le choix d’objectifs politiques à vocation nationale.

C’est tout particulièrement au niveau des sous-préfectures que le combat doit être organisé, car ces villes constituent souvent une sorte de capitale du « pays » correspondant. Il faut donc mettre en place à ce niveau des « collectifs de coordination des luttes », en commençant, à notre avis, par la question de l’école, avec l’objectif d’instauration du chèque scolaire, conduisant à l’école libre, ce qui nous assurera l’adhésion de 80% des parents d’élèves. C’est ce qu’on appelle la « guérilla pacifique ».

En avant pour les collectifs de coordination des luttes au niveau des pays !

Georges Tartaret

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