Didier Raoult nous rappelle que seuls le Roi et le Pape permettent la liberté de la recherche !, par Rémi Martin
Au jour où l’indépendance de la recherche devient de plus en plus nominale et illusoire — entre financements douteux, qu’ils proviennent de l’industrie ou de l’État (encourageant ce qu’il veut bien encourager, c’est-à-dire souvent le pire) et conformisme social, voire terrorisme intellectuel (il ne faut surtout pas aborder certains sujets, dire certaines choses si l’on veut avoir une chance, un jour, d’acquérir une place) —, il est bon d’entendre notre cher Didier Raoult rappeler quelques vérités historiques.
Dans une récente vidéo[1], à l’aune de persécutions à son encontre — elles ne cessent pas, ni ne faiblissent —, l’éminent professeur continue de faire montre d’un courage certain, qu’il en soit loué et remercié, et un jour, Dieu voulant, ici-bas ou là-haut, récompensé.
Je comprends, comme il l’avoue lui-même, qu’il puisse en irriter certains : chez M. Raoult, pas de contorsions ni de faux-fuyants ; les choses sont dites brutalement dans leur vérité, ce qui permet d’ailleurs de les comprendre et de les discuter le cas échéant.
Il parle ainsi de la liberté de la recherche et rappelle que la liberté des sciences existe en Europe depuis le Moyen-Âge très chrétien, et n’a été éclipsé massivement en France que sous la Révolution…
Il rappelle que cette indépendance de l’université médiévale a été conservée et cultivée grâce à la double tutelle du Roi et de l’Église (du Pape en particulier), donnant des privilèges et des franchises (notons que, à sa naissance, la fondation était essentiellement cléricale et sous la juridiction de l’Église, mais seule la collaboration et la reconnaissance du Roi ont pu permettre cette réalisation exceptionnelle dans l’histoire).
« Un âne qui a deux maîtres n’a pas de maîtres », comme il le rappelle : cette double tutelle effective permettait d’éviter les abus des pouvoirs à la fois temporel et spirituel, toujours coopérants et ne se subordonnant jamais l’un à l’autre… jusqu’à la Révolution de 1789.
Tout est dit, ou presque : permettons-nous d’ajouter que cette liberté de l’étude ne fut possible que dans la foi catholique, irriguée par la recherche de la Vérité, nécessaire pour mieux louer et rendre gloire à notre Créateur et Sauveur. C’est encore la Vérité catholique qui permettait aux deux pouvoirs de surmonter les péchés des hommes qui l’incarnaient et de donner une harmonieuse coopération, sachant à moindre frais surmonter les bousculades et les divisions.
Tout cela n’existe plus dans une société qui se paganise, et cela n’est pas étonnant ! Nous revenons à la superstition, aujourd’hui scientiste et sanitaire, qui croit excessivement en des postulats qui ne sont même plus issus du démon ou de la nature, mais du dernier comité scientifique en date…
Il suffit de tirer la conséquence logique de tout cela : sans la restauration d’un Roi Très Chrétien, et d’un Pape très catholique, rien ne s’arrangera…
En attendant, prions pour ce courageux Professeur, et soutenons-le dans le combat. Prions pour qu’il se rende compte, si ce n’est pas déjà le cas, que ce qu’il doit de bon sens, d’indépendance et de courage dans ses succès scientifiques ne provient pas de la Modernité, mais du fond très catholique et royal de notre pays, qui vivait encore de façon relativement massive jusqu’en dans les années 1970, avant la destruction conciliaire.
Rémi Martin
Pour Dieu, pour le Roi, pour la France !
Et pourtant, elle tourne !…
Le procès de Galilée – 22 juin 1633 : https://www.youtube.com/watch?v=3mVEtO4DNWk
Aujourd’hui en France et dans le monde, ce sont les catholiques qui sont des Galilée !