[Edito] Bioéthique : au Japon le gouvernement Macron serait passible… de crucifiement !
Le gouvernement prend des risques à vouloir tuer le père une fois encore. La justice immémoriale parlera de toute façon dans les dégâts malheureux que cette loi ajouterait à de nombreuses autres dans la destruction méthodique de la société, si elle devait passer.
La justice divine parlera aussi, à l’heure que la Providence jugera adéquate, car vouloir tant de mal aux enfants qui naîtrons sans père, à ceux qui seront tués dans le processus – ne les oublions pas -, et à ceux qui seront horriblement torturés par congélation dans quelque labo de recherche, ne restera pas impuni : qu’ils ne se réjouissent pas trop vite de ne pas prendre la foudre sur eux tout de suite car ce répit donné par le Seigneur n’indique que trop à quel point leur mort subite en état de péché mortel les emporterait dans des profondeurs infernales si terribles qu’il leur donne la chance de pouvoir se convertir avant qu’il soit trop tard…
Au Japon, on n’aimait pas vraiment celui qui tue le père
Revenons sur terre. Ils risquent tant devant le tribunal de l’histoire ! Ils auraient vécu il y a ne serait-ce que 150 ans au Japon, ils auraient encouru non pas simplement la mort – cela est trop doux -, mais la mort par crucifiement après exposition du condamné pendant trois jours, avec en plus deux jours de « promenade » de par la ville pour le soumettre à la vindicte populaire – on n’aimait pas vraiment celui qui tue le père.
Encore aurait-il éviter la pire des peines, celle qu’encourent les coupables de régicide : la même chose avec en plus une torture à la scie à bois. Celle qui tue son mari s’en sort plutôt bien, elle n’encourt que la mort par crucifixion avec son exposition pendant trois jours, sans la promenade. Ne parlons pas de l’assassin de ses frères ou de ses oncles, lui il est privilégié : simplement la peine de mort, avec ensuite le cadavre exposé à la vindicte de tous pendant un temps certain…
Le Japon ne fait pas exception, aucune civilisation n’a aimé ni le régicide ni le parricide – qui reviennent fondamentalement au même crime contre-nature. Toutes les religions naturelles sentaient bien la gravité de porter atteinte à l’autorité paternelle, ce père qui, sur terre, nous dit la Révélation, évoque le mieux la figure de Dieu le Père. Nos anciens savaient bien, sans le saisir avec exactitude que l’homme était fait à l’image de Dieu, et que les autorités, le roi, le père étaient sacrés. Y porter atteinte c’est rompre l’équilibre nécessaire de la société, c’est apporter le désordre, entamer la paix : bref commettre un acte contre-nature. Si exception il a existé – aucune à ma connaissance à part notre temps – ils n’ont pas dû faire long feu, et leur mémoire a été exterminé de l’histoire devant l’horreur de leurs actes.
Notez bien que toutes ces peines si terribles et vexatoires – la mort ne suffisait pas, il fallait encore crucifier ! – le pire des supplices, celui choisi par Notre Seigneur lui-même – ne le sont que contre le crime d’atteinte à la paternité, ne font que s’attaquer aux actes contre-nature. Dans le pressentiment voilé qu’atteindre le père naturel c’est attaquer le Père surnaturelle, Dieu, celui à qui nous devons notre existence même à chaque instant et en permanence.
Ce n’est pas juste un père qu’ils tuent
Que risquent alors notre gouvernement et tous les suppôts de la contre-nature et de la destruction de la société ? Oh, bien pire que le crucifiement. Au minimum. Car ce n’est pas juste un père, un roi – le père de famille est roi dans sa famille – qu’ils tuent, mais c’est le Père, le Roi, leurs figures qu’ils veulent nier de fond en comble : c’est bien clairement Dieu visé ici, puisque les criminels sont des apostats enfants de la Révolution qui ne peuvent pas ignorer la vérité – là où le régicide et parricide païens, encore que leur acte mérite la crucifixion, ne méritait pas plus que cela puisqu’il ne connaissait pas la Révélation et donc ne pouvait pas avoir l’intention de nier « Celui qui Est »…
Le gouvernement qui n’a que la légitimité dont parle Saint Paul oserait-il alors se condamner un peu plus en entraînant dans les entrailles de la terre tant d’âmes à sa suite ?
La crucifixion n’est qu’une douce punition en comparaison de ce qui les attend s’ils ne se convertissent pas à temps…
Toute l’histoire universelle de l’humanité crie la même évidence.
Pour Dieu, pour le Roi, pour la France
Paul-Raymond du Lac
Dieu prenne en pitié tous ceux-là. Détruire les pères, nos pères quand, récemment, ils voulaient nous voler nos enfants dès la naissance… Qu’ils y viennent. Nous éduquerons nos enfants selon les lois de Dieu et nous serons de bons pères, selon la volonté de Dieu et ils n’y pourront rien!