Blasphème et décapitation (3/4) : Vers la guerre civile ?

Certains abrutis, autoproclamés gouvernants, proposent de diffuser dans toutes les salles de classe françaises les caricatures immondes en cause dans l’affaire de la décapitation de Conflans.

Sont-ils fous ? Le blasphème est un crime, et je ne suis pas sûr que s’enfoncer dans le crime puisse amener de bonnes choses… Veulent-ils la guerre civile ? Je serais musulman, je prendrais cela comme une déclaration de guerre ! Les enseignants ont intérêt d’avoir les tripes solides, car les têtes risquent de voler, malheureusement !

Comment ne pas voir que ce genre de débilités profondes peut amener la guerre civile, non plus seulement larvée, mais généralisée ?! Ou alors, ils le voient, et ils la veulent, cette guerre ? Les républicains ne voudraient-ils pas, au fond, un massacre entre les musulmans, qu’ils n’arrivent plus à contrôler, et les vrais Français, qui seraient encore dupés en guerroyant contre des envahisseurs, au lieu de combattre leurs ennemis premiers : ceux qui ont mis le loup dans la bergerie ?!

Et encore, on ne parle pas des terribles dégâts collatéraux ! Il faut l’avouer, les musulmans, comme les républicains,  sont le plus souvent des pommés qui n’ont pas les idées claires… Les vrais idéologues, eux, sont peu nombreux, et plutôt assis dans des divans à siroter du thé que debout, prêts à partir au front…

Que ceux qui croient obtenir de bons fruits en se comportant comme de sales gosses, indisciplinés et provocateurs, se réveillent ! Ou le choc sera rude au moment venu… On ne promeut pas la paix en insultant les gens !

Antoine Michel

Pour Dieu, pour le roi, pour la France !

Lire les autres articles de la série « Blasphème et décapitation » :

• Partie 1 : L’islamisation de la France
• Partie 2 : Le refus du blasphème, une loi naturelle
  
• Partie 3 : Vers la guerre civile ?
• Partie 4 : Les vrais profanateurs