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Blasphème et décapitation (1/4) : l’islamisation de la France

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Une exécution sommaire d’un « hussard noir de la république » a eu lieu dans le verdoyant bassin parisien, à Conflans. Tout ce qui se trouve de républicain et de maçonnique dans les pseudo-élites a fait semblant de pleurer la mort de leur soldat républicain, victime bien malgré lui d’une justice islamique dure et sans pitié.

Le Français moyen ne comprend pas ce qui lui arrive : un homme est décapité en plein cœur de son pays pour avoir montré quelques images. La colère monte et les discours se brouillent : trop rêvent d’enclencher la guerre civile. L’atmosphère est inquiétante. Tentons de nous élever un peu, au-dessus du bruit ambiant, et de réfléchir au sens profond de cette exécution par un musulman tchétchène.

Notons tout d’abord que ce n’est pas un acte de guerre, ni un crime à proprement parler, mais l’application d’une sentence prescrite par le coran — certes sans tribunaux, ni procédures. Le Tchétchène, quoique sec pour la sensiblerie contemporaine, ne fait au fond qu’appliquer à la lettre la loi islamique.

Que cela prouve-t-il ? Que la loi islamique est en vigueur dans des pans entiers de notre territoire, et que la justice islamique est appliquée — ce qui est logique, d’ailleurs, puisque la justice ne s’applique plus dans notre pays sauf pour les innocents et les faibles. Ce constat est peut-être choquant, mais il est malheureusement vrai ! Les Français prendront peut-être conscience que chaque religion applique son dogme. Si, nous autres, intégristes catholiques, sommes des extrémistes de l’Amour, eux, intégristes musulmans, sont des extrémistes de la guerre sainte et de la justice formaliste sans pitié.

Souvenez-vous, républicains : quand vous blasphémiez sans fin sous la troisième république — sans compter les illuminés à la Voltaire et compagnie —, vous aviez de la chance d’avoir des extrémistes de la charité en face de vous, car, sans cela, vous n’auriez pu déverser tout votre fiel !

Enfin, ne soyons pas étonnés de la levée de boucliers — dans le vide — des républicains : les instituteurs sont bien les prêtres armés de la république, alors ils sont sacrés ! Et nous allons voir comment la république protégera son « sacré »…

À suivre…

Antoine Michel

Pour Dieu, pour le Roi, pour la France !


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