Ce n’est pas le menu qui était « dég…….. » mais elle : Nicole Bricq
Nous n’avions jamais entendu parler de cette ministre avant son jugement irrévérencieux sur le menu du diner d’Etat à l’Elysée ce mercredi 26 mars. Elle est – parait-il – ministre du Commerce extérieur et si l’on s’en réfère à ses actions pour le bien-être de la France et de ses concitoyens, il faut vraiment chercher, un peu comme l’avion malaisien, qui a perdu 239 passagers, sans trop savoir comment, peut-être manque de fuel, aux dernières nouvelles et plus de détournement. Enfin, si l’on retrouve les boites noires, on saura, mais le temps presse. Et peut-être que personne ne veut vraiment savoir par rapport aux assurances et autres…
Qu’a-t-elle fait depuis deux ans, cette ministre-fantôme ? Comment justifie-t-elle les émoluments et privilèges extraordinaires de sa fonction de ministre ? Elle n’a pas honte de bénéficier d’un tel traitement, sans rien faire, alors que cinq millions de chômeurs cherchent désespérément comment boucler non pas leurs fin de mois, mais le début ? Sans parler des petits retraités et des petits agriculteurs ?
Ses rapports doivent être écrits à l’encre sympathique, tout comme les soi-disant diplômes de Christiane Taubira, qui prétendrait que c’est la faute aux journalistes cette rumeur de deux doctorats. Curieux comme cette femme arrive toujours à retourner les situations à son avantage. Une autre affaire de mensonge d’état : les Français s’habituent à cette tragédie du mensonge pour laquelle ils paient, sans espoir de voir la fin du tunnel avec ces guignols en place.
Si vous voulez connaître la composition d’un menu estimé « dég…. », par cette pitoyable personne, le voici : une « gourmandise de foie gras truffé», suivie d’une « volaille landaise rôtie, et une viennoise de champignons», accompagné d’un « moelleux de pommes de terre forestière », puis d’un plateau de fromages, pour terminer sur une « nuance chocolat et caramel, glace acidulée». Question vins, les amateurs vont pouvoir se pâmer d’envie : Château d’Yquem 1997, Château Lafitte 1999 et pour terminer champagne Deutz de 2005. Qui n’aurait souhaité assister à cette soirée ?
Nicole Bricq aurait certainement été licenciée séance tenante dans le privé pour avoir tenu de tels propos et elle n’aurait pas eu droit à des indemnités. Mais dans le public, tout est permis ! Monsieur Hollande a bien donné le mauvais exemple en répudiant officiellement et publiquement Valérie Trierweiler, laquelle s’autorise aujourd’hui à demander aux Français de ne pas voter pour le F.N. Non, mais de quoi je me mêle ? Ex-concubine, retournez à vos écrits et ne vous gênez pas pour dire tout ce que vous savez sur votre ex-compagnon, ce dont nous doutons. Vous avez trop à perdre, suite à vos indemnités compensatoires. Un jour sonnera l’heure des comptes et rien ne vous sera pardonné.
Solange Strimon