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Attention ! Sans son histoire la France devient amnésique

A qui la faute ? A notre cher ministre de l’Education Nationale qui veut par tous les moyens détruire nos valeurs. Il faut que Vincent Peillon retire les nouveaux manuels d’histoire du programme d’enseignement scolaire. D’après François Py, chargé de mission à Avenir de la Culture : ” depuis des mois vous descendez dans la rue pour dire non à l’idéologie du genre, à présent M. Peillon veut couper vos enfants de leurs racines “.

En effet, les nouveaux manuels d’histoire de l’Education Nationale font l’impasse sur des figures telles que Clovis, Jeanne d’Arc ou Saint Louis. En lieu et place nos enfants seront contraints d’étudier les empires africains. Au nom d’un égalitarisme et  d’un multiculturalisme exacerbés et pour faire plaisir à tous les lobbies. Mais en perdant de vue l’essentiel : ” l’enseignement de l’Histoire de la plus ancienne nation d’Europe “.

Et l’école n’est pas un champ d’expérimentation pour vos partis pris idéologiques, anti-français et anti-chrétiens. ” Avec Peillon s’ouvre l’ère où, à la médiocrité s’ajoute la moralité douteuse “, un changement de valeurs. Un changement de valeurs, multiculturalisme oblige ? Non, bien entendu, seulement une manœuvre de plus pour évincer ceux qui ont fait la France, pour enlever de notre mémoire collective notre essence même. Remettre en cause le génie d’une nation, c’est devenir un traître à son pays. Mais c’est la République socialiste que veut nous imposer Vincent Peillon.

Son idéologie fabriquée de toute pièce pour nous rendre étranger à notre propre pays en nous promettant un monde nouveau qui n’existera jamais. Remettre en cause notre Histoire c’est tuer Louis XVI une seconde fois. Et cela les Français ne peuvent l’accepter et encore moins le penser. 

Cet effet ce changement de valeurs, c’est nier la vérité historique : là où l’école d’autrefois parlait nation, patriotisme et assimilation, nous avons aujourd’hui mondialisation, ouverture des frontières et droit à la différence. Mais avec une pensée unique, un être semblable à un autre, un destin identique.

Mais avant de s’ouvrir aux autres M. Peillon, suivant vos conseils, la première condition ne serait-elle pas de se bien connaître soi-même, de connaître d’où l’on vient, c’est cela notre histoire.

Eric Muth

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