Quand Valls préfère le tablier d’épicier à celui de « premier flic » de France
Alors que la France (enfin pas n’importe laquelle, celle des bobos et autres consorts), débat sur les spectacles de Monsieur Dieudonné et de la quenelle, des églises chaque jour ou presque sont vandalisées. Le dernière en date, celle de Sainte Odile a été profanée il y a peu. Lorsqu’on retrouvera la personne qui aura commis cet acte, je vous fiche mon billet que l’on dira que c’est un déséquilibré, alors que si ces profanations avaient eu lieu dans une synagogue ou une mosquée, le ban et l’arrière-ban de ce qui compte dans notre pays, se serait déplacé et aurait crié à la discrimination et au racisme.
Drôle de pays qu’est devenue la France, sous la coupe d’idéologues fanatiques ! Nos gouvernants préfèrent parler fruits et légumes (quenelle, bananes), plutôt que de s’atteler à la corruption de la politique, de l’emploi, des charges qui pèsent sur les entreprises…
Il y a des jours où j’ai honte d’être français. D’ailleurs, existent-ils encore des français dignes de ce nom ? J’en doute fort.
J’en reviens à l’interdiction des spectacles de Dieudonné, par notre gouvernement. La ministre ou ministresse (je ne sais plus comment l’appeler avec cette satané parité et idéologie du genre) de la culture, Aurélie Filippéti, soutient la circulaire Valls, en affirmant que ces derniers portaient atteinte “à la dignité humaine”. C’est l’hôpital qui se fout de la charité ! N’est-ce pas cette femme qui a nommé, Rodrigo Garcia, celui qui monta l’odieuse pièce “Golgota picnic” à la direction du théâtre de Montpellier ? Ce spectacle portait-il atteinte à la dignité humaine ou pas ? Sans doute que non, pour ces socialistes remplis de haine pour nos racines.
Alors interdire les spectacles du sieur Dieudonné ? Pourquoi pas (encore que j’ai du mal à comprendre nos socialistes qui n’ont que le mot de “liberté” à la bouche et qui ne l’appliquent que quand ça les arrange), mais alors qu’on le fasse pour toux ceux qui blessent les convictions de nos concitoyens.
Jean-François Martot