Si le coup de force était possible…
Dans un autre temps, avec une armée saine et des forces vives – c’est-à-dire royalistes – plus organisées, et une conviction bien assise sur la foi et l’histoire, la situation présente serait, en théorie, idéale pour un coup de force.
Une population exaspérée depuis des années par les mensonges gouvernementaux. Tous les corps de métiers, tous les secteurs ont un grief contre la république : soit méprisés, soit ignorés, soit imposés à outrance, soit sacrifiés, tout y passe, le pire étant certainement que les « gouvernants » font comprendre aux « gens » qu’ils sont bêtes et cons, qu’il leur suffit d’être du bétail qui bêle aux aboiements gouvernementaux et qui soit prêt à aller à l’abattoir pour garnir les tablées républicaines.
Même les banlieues, surtout les banlieues, sont atterrées devant toutes les lois contre-nature et cet État dégénéré – le drame est qu’elles croient souvent que c’est la France qui est dégénérée alors que c’est la république qui l’est.
Le confinement pousse au bord du précipice tous les indépendants et tant de patrons et d’employés. La gestion surtout totalitaire, mais clairement inefficace, l’impréparation systématique, les tentatives idéologiques en sous-main pour tirer la couverture à soi…
De plus, les forces de police sont à bout, et ne tiennent que par la terreur des syndicats internes.
L’armée, faible et affaiblie, certes, devrait avoir une voie toute ouverte pour abolir la république, quoi de plus simple ?
Tout le monde enfermé chez soi, pas de bavure, pas de morts, il suffit de prendre possession des lieux de gouvernements et d’information.
Tout tomberait.
Le coup de force, si encore certains le désiraient, serait décidément bien possible d’un point de vue factuel.
N’y a-t-il plus d’éléments sains et justes dans ces restes de corps constitués ? Qui sait, certaines personnes qui ont des possibilités d’action lisent peut-être ?
Toute la question est de bien restaurer,
En attendant, qu’on nous protège de la dictature totalitaire qui devient chaque jour plus pressante et lourde.
Antoine Michel
Pour Dieu, pour la France, pour le Roi
Ce qu’il manque c’est la foi, la foi intégrale, celle du Christ-Roi. Les vendéens l’avaient, les paroisses étaient encore vivantes…….Aujourdhui après trois guerres mondiales il ne reste plus que de la bouillie.