Vincent Peillon ou l’école des dégénérés !
Sortez vite vos enfants de l’enseignement public, car derrière le personnage Peillon se cache quelqu’un de très dangereux, un visionnaire pour qui la révolution française n’est pas terminée. Ce nouveau commencement du monde comme il l’affirme, c’est la transformation socialiste et progressiste de la société toute entière. Ce grand-prêtre du socialisme est responsable de l’Education Nationale, et cette école propagande est l’instrument de son action politique, républicaine et socialiste.
“C’est au socialisme qu’il va revenir d’incarner la révolution religieuse dont l’humanité a besoin”. Ce faux prophète veut une coupure totale de l’enfant d’avec autre chose que la république socialiste. L’étroitesse d’esprit de ce jacobin se concrétise par un anti-christianisme forcené et primaire. Pour arriver à imposer sa nouvelle religion, l’école joue donc un rôle stratégique et politique. D’après Vincent Peillon, il faut “s’appuyer sur la jeunesse pour changer les mentalités”. Cette religion laïque issue de la révolution française voit l’école comme une église. Sa pseudo religion républicaine est dangereuse et sectaire, comme l’homme : “on ne peut pas faire une révolution uniquement dans la matière, il faut la faire dans les esprits, or on a fait la révolution essentiellement politique, mais pas la révolution morale et spirituelle. Et donc on a laissé le moral et le spirituel à l’Eglise catholique. Donc il faut remplacer ça, on ne pourra jamais construire un pays de liberté avec la religion catholique. Il faut inventer une religion républicaine… une révolution spirituelle, c’est la laïcité”.
Pour lui la république pour s’établir a besoin de former sa propre religion, la religion du sexe a également son importance à l’école Peillon, il donne plein pouvoir à la secte LGBT sur l’éducation des enfants dès leur plus jeune âge. De concourir à la lutte contre toutes les discriminations, y compris les discriminations lesbophobes, homophobes ou transphobes.
Dans un courrier du 4 janvier 2013 Vincent Peillon met en mouvement ce plan infernal et invite les recteurs à relayer la campagne de communication relative à la “Ligne Azur” d’écoute pour les jeunes en questionnement à l’égard de leur orientation ou leur identité sexuelles.
Malheureusement cette ligne Azur n’est pas seulement un service à l’écoute des jeunes mais un tentacule du réseau militant LGBT pour soutenir la propagande des pratiques homosexuelles. Le ministre de l’Education nationale veut donc mettre la main sur les enfants à partir de 6 ans. Doit-on accepter la promotion de la sexualité LGBT dès l’école primaire? Resterons-nous muets ?
Eric Muth