Pierre Bergé, l’homme qui veut tuer Dieu !
Un homme sans conscience : les déclarations de Pierre Bergé secouent les chrétiens de France, et n’en finissent pas de faire couler beaucoup d’encre.
Sur RTL, dans l’émission ” On refait le monde ” il précise : ” Je suis pour la suppression intégrale de toutes les fêtes chrétiennes en France “. Ses propos sont intolérables et surviennent comme par hasard quelques jours après la provocation de Dounia Bouzar, qui à peine nommée à l’observatoire de la laïcité par le premier ministre, revendiquait la suppression de deux fêtes chrétiennes parmi les jours fériés reconnus par l’Etat et leur remplacement par Yom Kippour et l’Aïd.
Mise à part sa fortune, Pierre Bergé est un voleur d’âmes au service du vice. Un être vulgaire qui, quand Dieu lui fait de l’ombre, ne manque pas une occasion de montrer son côté christianophobe.
Ajoutez à cela les propos effarants d’un ministre socialiste en exercice, Vincent Peillon, voulant “éradiquer” le christianisme en France. C’est aujourd’hui une volonté manifeste de mener une nouvelle offensive antichrétienne avec le concours de l’Etat, des puissances de l’argent et surtout du lobby LGBT ( Lesbienne, gay, bisexuel et transsexuel).
Vincent Peillon est un homme dangereux, tyrannique et sans scrupule. Avec son enseignement obligatoire de la théorie du genre, c’est toujours l’enfant qui est visé et la famille détruite. Il souhaite que cet enseignement soit en partie dispensé par des associations LGBT, rien que cela, qui pourraient être rémunérées par les établissements pour leur interventions.
La réaction des catholiques de France doit être massive face au laxisme et à la perversité. Faut-il rappeler le mot fameux du Général de Gaulle ? “Si l’Etat est laïc, la France est chrétienne“.
Vouloir trahir la réalité, c’est insulter des millions de Français, et la travestir, c’est sombrer dans le néant. Dans les années sombres de l’Eglise catholique, Père Marie-Antoine de Lavaur, le capucin de Toulouse écrivait ceci : “Les incrédules de notre France, le jour où ils perdirent la raison, élevèrent un temple à la raison : c’était le temple de la folie. Ils se disaient les adorateurs de la raison, ils n’en étaient que les bourreaux. La seule gardienne de la raison c’est l’Eglise catholique. Seule, elle met à l’abri des désespoirs du scepticisme et de la folie de la présomption. Seule, elle défend ses droits et lui enseigne ses devoirs”.
Et le plus beau, le plus puissant témoignage de foi, c’est peut-être à l’heure des épreuves que ce capucin le donna, dans une France qui déjà voulait tuer Dieu, au fond d’un couvent glacé et solitaire après l’exil de ses frères.
“Le langage de la croix est folie pour ceux qui se perdent, mais pour ceux qui se sauvent, pour nous, il est puissance de Dieu”. (I Co 1, 18).
Eric Muth