Magouilles électorales…, par Antoine Michel
Rien de nouveau sous le soleil. Depuis les manipulations électorales de 1788-1789, orchestrées par le réseau franc-maçon et des « Lumières » de l’époque, pour monopoliser contre toute représentation les députés du tiers-état, les divers régimes en France s’amusent à changer très souvent les règles électorales. Quand la Révolution perd du terrain, ou qu’elle subit un revers, il suffit de changer les règles du jeu pour rester dans le coup…
Rien ne change aujourd’hui :
« Lors d’une visite commémorative au Havre aux côtés d’Édouard Philippe, le président de la République a notamment montré des signes d’ouverture sur la question du changement du mode de scrutin, alors que plusieurs familles politiques réclament la mise en place de la proportionnelle aux législatives. » («Un premier ministre formidable»: Emmanuel Macron et Édouard Philippe font bonne figure au Havre (lefigaro.fr) )
On pourra nous le présenter de toutes les façons que l’on veut, et le plus positivement possible : la poudre de perlimpinpin ne fonctionne plus. Tant que ces sbires révolutionnaires sont aux manettes – et en République, il ne peut y avoir que des sbires révolutionnaires, ou qui le deviennent – aucune réforme électorale ne peut aller dans le bon sens.
C’est surtout un écran de fumée pour détourner des véritables questions : la responsabilité de Macron, sa démission -qui, s’il avait encore une once d’honneur, devrait être automatique-, la nature foncièrement délétère des institutions, et la nécessité d’une restauration.
Ne nous faisons pas avoir une énième fois et dissipons l’illusion de la comédie (tragique) du théâtre démocratico-républicain.
Éteignons nos télévisions et fermons les grands journaux, pour nous former, pour avoir du silence, et pour agir en profondeur.
Pour la Restauration de Dieu dans la société
Pour la Restauration du Roi sur le trône
Pour la Restauration des bons principes partout
Pour la Restauration de la famille
Pour notre Restauration personnelle.
Pour Dieu, pour le Roi, pour la France
Antoine Michel