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Bellamy, le parangon du mauvais larron de la République !, par Antoine Michel

La République corrompt, la démocratie avilit, le libéralisme abrutit, les élections dégradent l’homme, l’égalité le détruit, la « communication » le prostitue. Bellamy en est le parangon et la preuve. La preuve qu’il ne faut jamais jouer le jeu de la République ; qu’il ne faut jamais mettre le doigt dans l’engrenage fatal de la démocratie et du libéralisme, qui n’est autre que l’orgueil institutionnalisé, le luciférianisme au niveau humain : comme l’ange se voulait faire Dieu, la révolution prométhéenne humaniste veut faire de l’homme un dieu, en commençant par évacuer le seul Dieu qui existe, et en évacuant ceux qui le représentent sur terre (le père de famille, le Roi, le prêtre) : résultat des courses l’homme devient une brute, il s’animalise et tombe dans le vulgaire le plus noir…

Bellamy, ce versaillais bon teint, autrefois « philosophe » – et on pourrait certainement déterrer de bons écrits censés, suivant le droit naturel et respectant Dieu – a fait le pas fatal peu après la manif pour tous. Nous nous souvenons de ce jeune et fringuant défenseur du mariage catholique…qui semblait intelligent, qui l’était…et qui le fut « trop » au point d’oublier que la science enfle, mais que seul la charité approfondit.

Il décida, comme un Zemmour d’un autre genre de se « lancer » en politique : non pas comme attaché parlementaire de l’ombre, pour mieux connaître les rouages d’un système à détruire (car soyons honnête, quand un corps est malade, il faut l’achever, surtout quand c’est une bête immonde), non pas comme un fonctionnaire du patrimoine, planqué, qui maintient ce qui reste de France, tout en repérant les éléments qui, en cas de restauration, pourraient servir le roi sans trop de problème ; mais un « politicien », c’est-à-dire une prostitué de l’opinion publique.

Comme quoi, il est impossible de rester intègre une fois que l’on se prostitue : de certainement bon chrétien versaillais, Bellamy est devenu le larron de la Raie publique. Il voulait voler la gueuse soit disant pour faire du bien : résultat des courses il est devenu plus lamentable que la dernière des traînées des trottoirs publiques, insultant ses « adversaires » politiques, sui sont les meilleurs alliés de la « France » (mais ils sont aussi des prostitués, alors entre larrons, on s’insulte, c’est logique).

La Jeu politicien corrompt : on se prostitue à l’opinion publique pour des élections ridicules, et on commence à « réseauter » avec toute la lie de la Révolution – franc-mac, juifs, capitaines d’industries plus ou moins douteux, gnostiques, transhumanistes et tout ce que vous voulez. Oh, il ne s’agit pas de dire qu’il faut parler avec tout le monde, cela est nécessaire, mais en devant larron de la république, on ne discute plus avec ces personnes pour les convertir, et les utiliser pour le bien, mais pour en fait soi-même parvenir à être élu, et à avoir une place !

Le glissement est irrémédiable : on obtient une place bien payée pour faire le guignol ici et là au micro, ce qui est agréable pour l’ego. On n’use plus des biens de ce monde sans en jouir, on en joui, et on oublie Dieu en fréquentant des clercs qui sont bien libéraux, bien anti-catholiques dans leur trop grande sociabilité.

La mondanité est un jeu dangereux : il faut être un ermite dans son cœur, comme ces jésuites des anciens temps, pour fréquenter les « cours » de ce monde, d’autant p^lus aujourd’hui où elles sont de facto lucifériennes, sans se corrompre.

En République, en jouant la prostituée de la Raie publique, tout cela devient impossible. La prostitué devient comme la maîtresse illégitime de l’opinion publique, la maîtresse hait cette opinion à qui elle doit tout, et qui l’avilit sans cesse en lui rappelant sa corruption, tout en la flattant sans cesse : et ensuite, la maîtresse possède tout pouvoir, pour un temps, sur son amant détesté… La République persécute ses affidés et torture la France, rien d’étonnant.

Mais revenons à Bellamy : il sombre, de plus en plus bas.

Pourquoi ?

Car il n’est pas légitimiste. Car il a joué le jeu de la République et de la démocratie. Car il a été orgueilleux et flatté de se croire suffisamment vertueux pour résister à la corruption!

Mais quand on décide de se prostituer, comme peut-on être une prostituée vertueuses ? C’est impossible.

Quand on fait de son métier le vol, tel un larron, comment être vertueux ? C’est impossible.

On aura à la limite un léger code de l’honneur, comme les mafieux, pour se donner un confort moral, et surtout pour pouvoir survivre entre larrons, entre mafieux, entre prostitués et éviter que tous ces loups s’entre-tuent : car « business is business » ; ils se détestent allégrement, mais ils ont besoin des uns des autres pour tenir le reste des victimes dans leur dépendance, de leurs clients dans la dépendance, de leurs amants dans la dépendance.

Tout cela est triste.

Mais tout cela nous enseigne combien nous, les légitimistes, avons raison :

Jamais de compromis avec la République

Jamais de compromis avec la démocratie

Jamais de compromis avec le libéralisme

Ne jamais jouer le jeu électoral, et la mauvaise mondanité, déconnecté du Christ, pour l’homme, pour soi.

Bellamy est donc devenu un larron, et les larrons sont promis au supplice le plus vil : la croix.

Qu’il sache néanmoins que le jour où il sera sur la croix, il suffira qu’il se repente et qu’il demande au Christ, et en pratique à son lieutenant sur terre, le Roi, le pardon, tout en acceptant la punition, et il aura droit à une place à son royaume.

Qu’il se réveille au plus vite… Qu’il s’amende, devienne royaliste, et bon catholique, c’est tout ce que nous souhaitons au larron de la République Bellamy !

Pour Dieu, pour le Roi, pour la France

Antoine Michel

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