Monsieur Darmanin, dissolvez-nous !

Les sbires de la République continuent de s’illustrer par leur crasse trahison de la France au quotidien.

À la suite d’un « fait-divers » qui défraie la chronique et qui marque par son caractère terrible d’un enfant tué, le pays s’émeut. L’affaire Thomas de Crépol est partout. L’affaire surnage dans un flot d’assassinats quasi quotidiens de crimes divers commis par la population immigrée.

Outre les ronds de jambes et les formules oratoires pour tenter de détourner le regard de l’évidence de l’origine du crime, et d’éviter de trop rappeler que cette chienlit provient d’une accumulation de politiques criminelles tuant notre pays et contre le bien commun depuis des décennies, le ministre de l’Intérieur n’a rien trouvé de mieux à faire que de dissoudre des « groupes d’extrême-droite », dont la division qui porte le glorieux nom de Martel.

La faune politique habituelle n’a pas fait qu’invoquer le fantôme qui ne fait plus peur à personne de « l’extrême-droite », d’autant moins qu’à côté des assassinats quotidiens d’un côté et de la pression de terreur d’une administration oppressante de l’autre, beaucoup aimerait bien que cette faiblarde extrême-droite protège effectivement le pays, au lieu de se tourner les pouces dans une couardise aussi proverbiale que la malhonnêteté du sérail des politiciens de tous les bords qui nous gouvernent.

Le ministre est rigolo, s’il n’est un rigolo : croit-il que ses dissolutions ont un quelconque effet ?

Nous le disons : Monsieur Darmanin, s’il vous plaît, dissolvez-nous ! Cela nous ferait une publicité appréciable, et permettrait d’étendre nos idées bien plus loin que nos cercles habituels. Cela nous permettrait de mieux nous souder dans une attaque injuste et absurde, et cela à moindres frais, puisque, en définitive, la dissolution ne sert à rien. Nous nous connaissons non par des associations mais par des liens amicaux et familiaux ! Par le lien doctrinal et la fidélité au Roi, qui n’a pas de parti.

Alors votre dissolution n’aurait aucun effet pratique : pour nous supprimer du décor, il faudrait nous supprimer physiquement ; et encore, dans ce cas-là vous nous feriez l’honneur de faire de nous des martyrs !

Le diable porte pierre, comme on le sait : chacune de vos attaques augmente notre force !

Alors, vous nous dissolvez ? Un petit coup de pouce, ce n’est jamais de refus !

Antoine Michel

Pour Dieu, pour le Roi, pour la France !