Que Louis XVI soit condamné, de m’accepter à sa place…
Citoyen Président,
c’est donc le 26 du présent mois que la Convention Nationale doit juger Louis XVI. Voulez-vous bien demander à la Convention, en cas que Louis XVI soit condamné, de m’accepter à sa place. Si j’ai le bonheur d’être accepté et qu’il soit libre, je mourrai content. J’ai l’honneur d’être avec respect,
Citoyen Président,
votre très-humble et très-obéissant serviteur,
Chrétien Castel
Roubaix, le 22 septembre 1792