Tant qu’il restera une goutte de saint Louis, quelque part…
Assurément, tant qu’il restera une goutte de sang de saint Louis, quelque part, un Français ne peut refuser d’envoyer, du fond de son cœur, respect, sympathie, amour vers le représentant d’un principe qui a fait la gloire de la France depuis quatorze siècles, surtout lorsque la personnalité qui le représente est si digne d’admiration.
Louis-Edouard Pie, évêque de Poitiers, à Louis-Napoléon Bonaparte, le 19 décembre 1855