L’éducation est la grande préoccupation des forces motrices de la nouvelle société…
Persistent des îlots de mœurs chrétiennes, des habitudes de vie traditionnelles, une lenteur à accepter les “nouvelles valeurs” du jour, à abandonner les répugnances naturelles, etc. Pour surmonter ces freins, l’éducation – scolaire, médiatique, punitive – a donc toujours été la grande préoccupation des forces motrices de la nouvelle société éclairée, avec le double objet de détruire les “préjugés” et les structures qui les produisent et les pérennisent, la religion et la famille en particulier, et d’imposer de nouvelles conceptions et conduites.
Bernard Dumont, Catholica n°128, été 2015