Le droit de ne pas savoir pour sauver des bébés !, par Pauline Blanche
Pour le suivi de grossesse au Japon, le docteur propose de s’engager à ne pas dire si le bébé a un problème grave le cas échéant. Cela afin d’éviter des inquiétudes inutiles à la mère sur des maladies ou des infirmités sur lesquelles on est de toute façon impuissants. Le bon sens et la demande des parents vont en ce sens. Réalisme salutaire !
L’existence de cette mesure est quelque chose de bon, c’est un minimum vital : quand un médecin vous annonce des risques graves ou des pathologies graves en France ou ailleurs, c’est clairement dans un but : vous pousser à avorter et donc à tuer l’enfant (j’ai été témoin de cette perversion) !
En France, le « dépistage » de la trisomie et de quelques autres « pathologies » sont obligatoires : c’est une incitation à assassiner son enfant, activement. Cet état de fait illustre la force de l’idéologie de mort qui veut offrir toujours plus d’enfants au Moloch progressiste, sur le dos des parents qui deviennent, souvent à contre-cœur, des bourreaux. Au mieux, cela crée des cas de consciences et des inquiétudes inutiles, car si l’enfant doit être infirme, il le sera, et il ne sert à rien de tergiverser. Il suffit d’attendre en priant et de voir — Keep Calm and Carry On, diraient les Anglais —, d’où l’inutilité complète d’inquiéter la mère pendant sa grossesse — inquiétudes qui peuvent d’ailleurs entraîner des conséquences incalculables sur la santé de la mère et de l’enfant !
Alors, arrêtons de croire aux rêves rousseauistes, et revenons à des sentiments plus humains, en attendant de revenir à des sentiments plus chrétiens !
Pauline Blanche
Pour Dieu, pour le Roi, pour la France !
Le droit de faire savoir (au médecin) que l’on ne veut pas savoir, d’accord. Le droit (du médecin) de ne pas faire savoir, pas d’accord.