Vacances vaccins…, par Paul de Beaulias

Je vais vous raconter une histoire de fous.

Dans ma petite entreprise mondialiste où la providence m’a mis – les voies du Seigneur sont impénétrables ! – on sait y faire en termes de solidarité pandémique. Ils sont si gentils qu’ils nous ont donné l’honneur insigne réservé aux privilégiés de se faire vacciner une, deux et même trois fois – au doux nom de « booster » pour cette gentille troisième piqûre – avant tout le monde, et bien sûr pas dans les centres municipaux pour la plèbe et le menu peuple de seconde zone. Même la famille pouvait bénéficier de ce beau programme – qu’ils sont philanthropes dans cette boite ! Avec les dons aux « réfugiés » ukrainiens et aux « ONG » sur place, qui ne font que de l’humanitaire – mais oui, on vous le dit, alors c’est que c’est vrai, c’est juste que l’on donne des fusils en plastique aussi – et les gentillets drapeaux arc-en-ciel des sodomites et autres joyeusetés contre-nature, mâtiné évidemment de toutes les actions possibles pour les « filles » du « tiers »-monde – plus de tiers état, c’est le tiers-monde maintenant, on n’arrête pas le progrès !- et la « planète » et le « climat », le tableau est complet.

Pas tout à fait en fait, car ma boîte bien mondialiste fait mieux encore. Bon, elle « protège » les données médicales en vous les demandant, et on dirait que ça a pu la frustrer quelque peu que son beau programme de « piquouse »  fut ignoré par un certain nombre d’employés (dont votre serviteur, ils ne savent toujours pas si je suis ou si je ne suis pas piqué, c’est embêtant pour cette SPA philanthrope qui se préoccupe de notre hygiène à notre place).

Mais mieux encore, si, si.

Vous pouvez prendre un jour de congé, voire plus, le jour suivant votre inoculation de l’arme biologique défensive, que d’aucuns appellent vaccin !

Ben oui, comme les trois quarts des gens qui se font piquer ont des effets secondaires pire même que la maladie, il faut bien se reposer, et puis il ne faudrait pas que tous les collègues voient l’état lamentable post-piquouse (qui sait, un indélicat aurait l’outrecuidance de dire que le vaccin en est la cause).

Voici le monde de fous où nous sommes.

Les entreprises se mettent à donner des vacances « récupération » vaccins ! Pas des congés maladie, évidemment…

Je vais demander à mes « RH » s’ils ne pourraient pas donner des vacances pour « cuites » aussi : après tout n’est-ce pas injuste de devoir supporter la barre sans se reposer, je vous le demande ! Quoi, moralité ? responsabilité ? Devoir ? Ces mots n’ont plus de sens, sauf si c’est pour faire gagner du fric à la boîte, ou donner du fric à des types qui n’en ont pas besoin.

Non, non, tant que vous êtes derrière votre écran, bon esclave, bien robot, et disant « oui, oui » à toute injonction, c’est bon vous irez « loin ». Certes, vous mourrez peut-être d’une myocardite, ou d’un coma éthylique, ou d’orgueil ou d’ennui, mais vous serez plein d’oseille, alors tout va bien. « Work hard, play hard »

La décadence en direct.

Tout cela ne peut pas bien finir, nous en vivons déjà les conséquences.

Vite le Roi !

Vite le Roi de rois !

Pour Dieu, pour la Roi, pour la France

Paul de Beaulias