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Le Figaro, ou L’hôpital qui se moque de la charité…, par Rémi Martin

Cela fait des années, voire des décennies, que nous avons pu tous constater la pas-assez-lente mais bien-trop-sûre descente aux enfers d’un ex-grand journal d’opinion : Le Figaro.

Jadis, cette feuille fondée sous la Restauration avait su se faire antilibéral, royaliste et organiser de vrais débats de fond dans la plus pure tradition du journal d’opinion à la française, le genre de journal qui ne se cache pas derrière son petit doigt et assume ses idées.

Je regardais tantôt cette feuille pour m’informer, non pour connaître la vérité évidemment, mais pour savoir à quelle sauce le gouvernement prévoit de nous manger.

Et j’ai remarqué une triste réalité : Le Figaro est malade, moribond… Atteint de démence il vit en ce moment un dernier éclair de lucidité. Il voit sa vie défiler devant ses yeux et se souvient de sa gloire passée. Moment cruel et pathétique où le dément se rend compte de sa déchéance. Aujourd’hui, Le Figaro se permet en effet de faire une campagne sur le thème : « Le Figaro, la culture de la liberté depuis 1826 » !

À l’heure du passeport sanitaire, des masques, des états d’urgence, des lois nocives et destructrices pour la famille, sans aucune résistance de leur part, cette « culture de la liberté » a au minimum disparu depuis un certain temps ! Il aurait fallu ajouter un sous-titre ! « Depuis 1826… jusqu’à » ? 1981 ? 1990 ? 2002 ? 2007 ? Qui saurait dire la date de fin ? Personne peut-être, mais ce qui est sûr, c’est que c’est fini aujourd’hui, et depuis longtemps.

S’il reste encore un indigène, un dernier vrai journaliste d’opinion, un dernier contre-révolutionnaire au Figaro, qu’il fasse rapidement un coup d’État dans son journal, sinon il disparaîtra dans peu de temps !

En revanche, chez nous à Vexilla Galliae, nous aimons nos libertés, pour les mettre au service de Dieu et du Roi, pour la fidélité et le combat ! Mais nous nous rions de la liberté liberticide et totalitaire qui sonne l’indépendance destructrice par rapport à Dieu, par rapport au Roi, par rapport au Père !

Rémi Martin

Pour Dieu, pour le Roi, pour la France !

2 réflexions sur “Le Figaro, ou L’hôpital qui se moque de la charité…, par Rémi Martin

  • Kardaillac

    La formule ne se comprend bien que si on capitalise les enseignes.
    L’Hôpital (Hôtel-dieu lyonnais) était au XIXè siècle aussi repoussant que La Charité, établissement concurrent voisin.

    La ville de Paris avait aussi les deux noms et celui de La Charité assez crasseux fut rasé pour vétusté dans l’entre-deux-guerre ! On disait donc à Paris : C’est l’Hôtel-Dieu qui se fout de La Charité !

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  • Benoît LEGENDRE

    Et dire qu’il y a des gens qui croient encore que le “Figaro” est un journal “réac”… Pauvres malheureux ignorants, formatés par l’esprit sectaire et intolérant des médias actuels ! Merci la gauche…

    Pour ma part, j’ai la nostalgie du “Figaro” d’il y a quelques décennies, du temps où l’on pouvait se régaler des excellents dessins du regretté Jacques Faizant, et surtout les petits billets d’André Frossard, qui étaient de véritables élixirs !

    Existe t-il un recueil ou une anthologie des textes d’André Frossard ?

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