Retour à la réalité – Tout est politique et idéologique.
La terreur par les médias démontre que la crise sanitaire n’existe pas !
Si la maladie était grave, vraiment grave, vous auriez tous des morts tout autour de vous : la moitié de votre famille peut-être, ou le tiers.
Le fait est connu mais il n’est pas inutile de le rappeler, pour donner des arguments lors de vos discussions avec les superstitieux victimes de l’obscurantisme sanitaire et scientifique.
Non pas un « asymptomatique positif », qui n’a objectivement rien, et qui change sa conduite simplement car on lui dit qu’il est malade comme dans le malade imaginaire, mais de vrais morts en dur.
Que se passerait-il à votre avis si la maladie était d’une telle gravité, qu’elle provoquerait des morts dans toutes les maisons ? En supposant qu’une maladie à ce point grave subisse le même traitement médiatique que le corona ? C’est-à-dire relayés dans les médias d’une façon aussi catastrophiste et anxiogène, et cela sur toutes les chaînes de la planète ? Le chaos et la guerre civile auraient éclaté depuis longtemps, cela est certain. Imaginez une seconde, une seule pauvre seconde, que la moitié des gens que vous connaissez soient morts d’une maladie : pensez-vous vraiment que le chaos aurait pu être empêché avec une telle « communication » ?
A contrario, le fait que ce genre de chaos n’ait pas lieu prouve que la maladie n’est pas grave : seul le matraquage par la terreur des images permet de tenir la population en état de choc et en haleine, en entretenant artificiellement un climat de peur.
Laissez-moi utiliser un exemple personnel et récent. J’ai un ami de jeunesse tunisien de « l’élite », avec des parents médecins, vivant à Londres, et travaillant dans les hautes sphères financières. Nous discutons du sujet, et évidemment, comme trop de gens, n’ayant pas encore non plus vraiment de famille à 30 ans passé (soyons juste, il commence juste), jeune attardé comme la plupart des gens de notre génération, tous ces propos « complotistes » sont bien loin de son quotidien.
Pour contrer un de mes arguments – je disais qu’en Tanzanie aucune mesure n’avait été prise, et qu’il n’y avait eu aucun mort – il me dit qu’en Tunisie, pendant 14 ou 18 mois, rien n’avait été fait et que maintenant il voyait bien par « facebook » beaucoup de jeunes de notre âge mourir à l’hôpital…
Si le temps me l’avait permis, j’aurais dû lui rétorquer : « pas mal, en Tunisie le virus met 14 à 18 mois pour incuber ! »
C’est en fait incroyable combien la manipulation par la peur et les images, via Facebook aussi et autres moyens de communication, qui cherche à rendre plus proche la peur en faisant croire que des malades sont dans notre entourage immédiat, alors même qu’on ne les connaît pas, fonctionne et tétanise tout bon sens, même sur des gens censés être « intelligents ».
Il est aussi incroyable de noter à quel point les mêmes procédés sont usés partout sur la planète : pour faire peur aux jeunes nous avons eu aussi dans nos pays cette période où tout d’un coup tous les malades graves avaient la vingtaine et étaient de jeunes cons irresponsables ne prenant pas les mesures qu’il fallait… Un autre jour c’est les bébés, ou les femmes enceintes… C’est presque ennuyeux, il suffit d’ouvrir le journal et regarder les grands titres dans deux ou trois pays bien covidiens (par exemple, France, Etats-Unis, Israel et Japon), pour savoir quel est le coup suivant.
Si encore certains de nos lecteurs avaient des doutes, réaffirmons-le encore : la crise sanitaire n’existe pas et n’a jamais existé.
Tout est politique et idéologique.
CQFD
Règle d’or du débat : ramener tout à des exemples réels et concrets de votre proximité immédiate.
Et souligner les contradictions des médias à quelques mois d’intervalle, ou dans les principes (ex : les poussins protégés à six jours en Allemagne contre l’infanticide autorisée en France jusqu’à la veille de l’accouchement ; touche pas à mon corps pour les féministes, mais pour le vaccin cela ne marche pas…)
Pour Dieu, pour le Roi, pour la France
Antoine Michel
Vos observations sont pertinentes. Nous sommes en face d’une maladie peu différente de celles que vous voyons arriver régulièrement depuis toujours, et qui font mourir les personnes affaiblies, déjà malades ou très âgées. Reste à savoir pourquoi les pouvoirs publics ont voulu tout révolutionner.