Tribunes

Devant une société sataniste : mobilisons-nous !

D’aberration en aberration, de cataclysme en cataclysme, de débauche en débauche, la société française continue de perdre son latin depuis que les socialistes sont au pouvoir, et qu’elle se vautre de plus en plus dans la boue et le stupre.

Il faut se réveiller, sonner le tocsin, alerter nos familles, nos amis : nous tombons dans l’enfer de l’immoralité, dans l’enfer le plus abject qui soit. D’un côté, sous prétexte de libérer la femme de la prostitution, l’Assemblée vient de définir le montant de la première amende (1 500 €) pour tout client. En cas de récidive, l’infraction deviendra un délit puni d’une peine d’amende de 3 750 euros. Pris en flagrant délit, je suppose ? Et pour permettre à l’ex-prostituée de se réinsérer, dans sa grande générosité, l’état lui accorde 11.20 € par jour et un hébergement d’urgence.

Mais c’est trop, beaucoup trop ! Que fait-on avec une somme aussi « importante », quand on connaît les prix de n’importe quelle consommation, n’importe quel repas, n’importe quel sandwich, n’importe quel matelas ? Où dormir quand on a conscience de la crise du logement, de la difficulté de trouver un lit et une douche à bas prix ? Peut-être que la ministre des droits de la femme Najat Vallaud-Belkacem offre le gîte et le couvert ? Le travail ne court déjà pas les rues pour qui dispose des qualifications professionnelles requises, alors pour les autres, rêvons !

Le projet de loi sur la prostitution, défendu par cette ministre, complètement à côté des réalités, a été adopté par 268 voix contre 138. Dans l’absolu, quelle avancée pour toutes les femmes réduites à cet état… ou ayant choisi ce métier ? Les réseaux mafieux seuls sont à démanteler mais le pouvoir de N.V.B – à ce niveau-là – est plus que limité ! Dans la prostitution, l’égalité n’est pas au rendez-vous, entre celle qui est exploitée par son proxénète et celle qui exerce pour payer ses études, nourrir sa famille, payer ses impôts. Il faudra s’attendre à plus de clandestinité, d’insécurité, de mise en danger et de malaises des deux côtés. Si on n’a plus le droit de vendre son corps, enfin le louer plus exactement, on pourra le faire pour donner aux gays des deux bords l’enfant espéré. Pas encore voté cette abomination, mais on y va !

Tous les paramètres ont-ils été pris en compte, au-delà du drame réel que constitue la location de son corps, quand on ne peut faire autrement. Voyons-en quelques-uns. Il est des handicapés qui ne trouvent pas de femmes pour les satisfaire, en dehors des prostituées. Il des hommes qui sont tellement laids et vieux qu’ils ne trouvent pas de compagnes pour un soir ou plus. Il est des hommes qui sont tellement demandeurs que leurs épouses ne peuvent les satisfaire. Et il est encore des hommes qui ont des besoins aussi étranges que ceux du dernier film de Polanski et qui pourraient sombrer dans la folie s’il n’y avait les prostituées. Non, ce n’est certainement pas drôle d’exercer ce métier tous les jours. Mais au moins il permet de (parfois) bien vivre et de répondre à certains besoins d’une société qui est ce qu’elle est et ne prétend pas chercher un prix de moralité. Enfin, que ceux qui ont de gros moyens financiers se rassurent : élus politiques et autres trouveront toujours à se satisfaire en Allemagne ou en Suisse ! Dans ce cas, ce ne sont pas les riches qui seront taxés ! Mais comble de la moralité, dans le même temps, on souhaite légaliser le cannabis.

Pour preuve et là, on atteint des sommets d’interrogation et d’inquiétude. Gabriel Matzneff, pédophile notoire, vient de se faire attribuer récemment le prix Renaudot Essai 2013 pour son livre “Séraphin, c’est la fin”. Résumons : d’un côté, on veut empêcher les rapports normaux entre un homme et une femme par l’institution du mariage gay et de toutes les dérives auxquelles on peut s’attendre, et de l’autre, on glorifie cet écrivain qui donne le mode d’emploi de la consommation du jeune sexe. Mais où allons-nous ?

Cet auteur, un pédophile notoire, raconte ses expériences sexuelles avec des mineurs de 8 à 16 ans. J’ai certainement dû rater un épisode car il me semblait qu’en France, la pédophilie était un crime. Est-ce encore le cas ? Elle épargne peut-être les littéraires, les artistes peintres, les dépravés en tout genre de notre gouvernement.

Au fait, avec l’idéologie du gender, avec la confusion à établir entre les sexes et le choix qu’auraient les enfants à propos de leur identité corporelle, toute dérive sexuelle doit être considérée comme « NORMALE ». Avec toutes les réformes sataniques envisagées par Vincent Peillon, ne lâchez rien !

Au pays de la normalitude, il faut combattre par tous les moyens l’attribution de ce prix et toutes les conséquences qu’il aurait sur les candidats à la pédophilie. Français, ne vous laissez pas faire ! Ne faites pas de vos enfants les nouvelles victimes des pédophiles. 

Et priez pour que l’Esprit Saint envoie Louis XX sur le trône de France rétablir la véritable identité de notre cher pays.

Stanislas Desrues

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