Le Roman de Jeanne d’Arc : nouveau livre de Philippe de Villiers !
Nous connaissons le Villiers politique et le Villiers créateur de génie au Puy du Fou. Nous connaissons surtout le Villiers grand écrivain depuis les superbes Roman de Charette et Roman de Saint Louis. Par son style bien particulier et captivant, Philippe de Villiers nous plonge au cœur de l’histoire de notre belle France et nous fait redécouvrir des personnages emblématiques devenus, peut-être, trop lointains.
Pour le plus grand bonheur des amoureux de la France, l’écrivain va publier en fin d’année « Le Roman de Jeanne d’Arc ». La sortie semble prévue pour le 29 octobre 2014. Voici la présentation de l’auteur :
« Jeanne d’Arc fut et demeure le plus pur chef-d’œuvre que le génie allégorique ait jamais déposé en notre littérature. Là où se côtoient dans leur impossible et monstrueux dialogue, l’infinie lâcheté et l’absolue candeur d’un ange qui parlait avec les anges. Mais peut-être y a-t-il un danger à la regarder depuis trop longtemps comme une sainte de vitrail, si haute, si parfaite et si lointaine ? J’ai voulu un instant déposer le vitrail pour lui rendre un peu de son humanité, de ses fragilités, de ses vraisemblances...» Philippe de Villiers.
Sous le règne de l’empereur Auguste, la Rome antique connut un âge d’or culturel marqué par un retour aux valeurs traditionnelles contre la libéralisation des mœurs. Grâce à Mécène, conseiller de l’empereur, des auteurs comme Virgile, Horace, Ovide, Tite-Live ont pu marquer Rome et l’histoire. Mais ce ne fut pas le fruit du hasard, c’est Auguste lui-même qui a voulu mettre l’Art au service de Rome. Œuvre emblématique de cet âge d’or, l’Enéide de Virgile avait comme objectif commandé par Auguste, de promouvoir les valeurs romaines de travail de la terre (labor), respect des aïeux, des dieux et de la patrie (pietas), courage (virtus) et sobriété (frugalitas).
Aujourd’hui, au milieu de ces artistes décadents qui vont toujours plus dans l’absurde, l’obscène et la haine de la France, Philippe de Villiers apparaît comme un rescapé du siècle d’Auguste qui, entendant le lointain appel de nos Rois qui ont fait la France, travaille à nous redonner l’amour du pays.
Pierre Ardent