Social et économie

Calais, symbole de la France post-immigration

A Calais, la situation se transforme peu à peu en enfer multiculturel. En cause : l’importante augmentation du nombre d’immigrés clandestins (entre 1500 et 3000 personnes, 2 à 4% de la population de la ville). Ceux-ci attendent de pouvoir passer illégalement en Angleterre. Pour ce faire, ils ont une technique bien rodée : se dissimuler dans les poids-lourds qui vont de la France en Grande-Bretagne. Les clandestins attendent près de Calais pour monter en cachette dans un camion et sortir une fois arrivés en Angleterre, après la traversée en ferry. Cette technique coûte cher aux routiers. En effet, pour chaque personne ayant immigré illégalement en Angleterre via leur camion, ils doivent payer une amende allant jusqu’à 2000 livres. Pour parvenir à leurs fins, les migrants n’hésitent pas à se masser sur les autoroutes et à s’en prendre physiquement aux camions et aux routiers [1].
 
Ces derniers jours, la tension est montée de plusieurs crans. Le 13 octobre, une manifestation a réuni plusieurs centaines de policiers et de Calaisiens. Selon un responsable du syndicat policier SGP-FO, “il y a une augmentation exponentielle de la criminalité : ces trois derniers mois, il y a eu 80 crimes et délits, contre 7 sur la même période en 2013” [2]. Une semaine après, le 20 septembre, suite à un embouteillage, de nombreux camions étaient arrêtés sur l’autoroute. Les chauffeurs ont subi l’attaque d’une vague de 300 à 400 migrants, se précipitant sur les véhicules. Les 180 CRS présents ont dû appeler de nombreux renforts pour gérer (difficilement) la situation. Dans la soirée, la situation s’est à nouveau dégradée. Toute la nuit, des affrontements éclateront entre des centaines d’Erythréens et d’Ethiopiens, à coups de pierres et de bâtons. Une “scène de guérilla”, selon un témoin [3].
 
Les affrontements continuent le lendemain. Le troisième jour, le 22 octobre, suivant un schéma classique, des clandestins essayent de s’installer dans des camions en profitant des bouchons. Nouvelle intervention des CRS, nouveaux affrontements, etc.
 
Ces événements sont hélas symptomatiques de l’état de la France, voire de l’Europe. L’afflux massif de populations africaines sur notre territoire, attirées par une politique migratoire laxiste, l’ouverture des frontières, l’aide médicale d’Etat (AME) et le droit du sol, ne peut qu’engendrer des tensions. Cette immigration qui s’approche, qualitativement et quantitativement, de l’invasion, conduit tout droit à, osons l’expression, des confits ethniques. Conflits entre populations allogènes (ici, entre Erythréens et Ethiopiens par exemple), et avec la population autochtone (nous-mêmes en l’occurrence). Et surtout, inutile de prétendre que ces malheureux immigrés meurent de faim et n’ont pas le choix, alors qu’ils se permettent de refuser la nourriture qui leur est offerte[4] !
 
Face à cette situation, et pour éviter l’envenimement des conflits intercommunautaires larvés, il faut réagir rapidement. Non seulement reprendre le contrôle de nos frontières pour maîtriser enfin l’immigration, et la limiter drastiquement ; mais aussi assurer le retour dans leur pays d’origine des populations étrangères présentes en France et non assimilées. Plusieurs peuples distincts ne peuvent vivre ensemble sur le même territoire, cela conduit systématiquement à des affrontements : l’Histoire nous l’a amplement démontré, et l’actualité internationale nous le démontre encore.
 
François Etendard
 

 
1 : Le témoignage d’un routier : L’Union
2 : Source : France 3 région
3 : Source : Le Figaro
4 : Source : Le Figaro

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