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Un pavé dans la mare des certitudes du COP21

Un gros pavé a été lancé dans la mare des vertueux organisateurs du COP 21.

Il est lancé par La Société de Calcul Mathématique qui vient de publier un Livre Blanc sur la lutte contre le Réchauffement Climatique. Rapport qui s’inscrit en tout point  à l’opposé des thèses du GIEC dont on se demande qu’est-ce-qui lui vaut d’imposer ses théories en matière de climat,

C’est d’ailleurs la raison pour laquelle les mathématiciens – qui s’affirment «  objectifs et sans allégeance » – ont intitulé leur rapport : « Le Réchauffement Climatique : une croisade absurde, coûteuse et inutile ».

Il n’est pas question de procéder ici à une étude exhaustive de leur thèse (cf. www.scmsa.eu) mais cependant un certain nombre d’arguments méritent d’être soulignés dés ici.

D’abord le constat de départ : on nous affirme sur tous les tons que le réchauffement climatique constaté depuis une trentaine d’année est dû aux activités de l’homme. D’où un ensemble d’initiatives et de réglementations qui ont d’immenses répercussions sur tous les secteurs de l’économie  car on ne peut désormais entreprendre aucune étude scientifique sérieuse et la voir financée si elle n’intègre par le paramètre obligatoire concernant le stockage géologique du CO2. La lutte contre le Réchauffement Climatique constitue désormais le « Petit Livre Rouge » du monde occidental.

Véritable endoctrinement idéologique alimenté par les déclarations du GIEC et reprises par la CE et les Etats membres. Particulièrement  par la France qui se veut en tête de la Croisade.

Mais croisade invalidée par « les faits, les données, les observations, les raisonnements » affirme nos mathématiciens.

D’où un Rapport très explicite en 3 Parties conçues de la manière suivante :

1/  LES FAITS.

Le rapport démontre que :

  • La croisade est absurde.
  • La croisade est coûteuse 
  • La croisade est inutile.

2/ LES DONNEES SCIENTIFIQUES

Le rapport affirme que

  • Le climat est naturellement variable et qu’il le restera tant que la Terre durera.
  • Que l’homme est dans l’heureuse impuissance d’influer sur lui.
  • Qu’il n’y a pas lieu de craindre les conséquences d’un hypothétique réchauffement : la  nature s’en accommodera comme elle l’a toujours fait.

3 LE GIEC

Le rapport, sans émettre de jugement de valeur, affirme que :

  • « aucune revue de bon niveau, ne publierait de tels travaux.
  • « que les conclusions du GIEC sont en contradiction avec les observations et que les données utilisées sont délibérément choisies pour étayer les conclusions …..
  • « que  la variabilité  naturelle des phénomènes [climatiques] est passée sous silence.
  • [Et qu’ainsi] le rapport du GIEC n’obéit pas aux règles fondamentales de la recherche scientifique et ne pourrait être publié dans aucune revue avec comité de lecture ».

Face aux tenants de la doctrine du réchauffement par les activités de l’homme, ceux qui présentent leurs contre-arguments sont forcés de se taire : jamais un débat public, jamais un colloque contradictoire, aucun article dans les revues scientifiques ne leur est possible. La cause a été entendue une fois pour toutes, mais,

  • sans jamais administrer et publier les preuves étayant la thèse officielle
  • sans jamais expliciter le traitement des données retenues,
  • sans jamais justifier la modification de séries temporelles,  le silence sur certains phénomènes, le refus des contre-expertises.

Pourquoi ?

On a tout à fait l’impression d’une opacité voulue et férocement maintenue pour soutenir la propagation de « vérités » imposées et on ne peut que soupçonner la défense d’intérêts essentiellement idéologiques et économiques pesant sur le sain exercice, et de la liberté scientifique et des libertés publiques sous le régime de Marianne la « lumineuse ».

Ce qui ne veut pas dire que nous souscrivons à l’émission de CO2 par millions de tonnes, envahissant les poumons de l’humanité et à l’origine de toutes sortes de graves dommages sanitaires.

Mais ne nous laissons pas abuser par la fantasmagorie climatique destinée sans doute  à procurer de substantiels bénéfices à ceux qui sont chargés d’en tirer profit (multinationales, ONG et j’en passe) et attaquons nous aux maux réels que l’ignoble système libéral a déchaînés en excitant toutes les convoitises consuméristes et en laissant se constituer de véritables empires « anationaux » qui ont déclaré une guerre à mort à notre civilisation chrétienne tout près d’expirer.

Louis Saint Martin

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